Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Surtout, ne fermez pas la porte en sortant

Carrère Christine, Menaut Philippe, Bouthillier Mélanie, Montabrut Sylvie, Laibe Brigitte
Date de parution 15/12/2023
EAN: 9791096697083
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Jusqu’en 2014, c’est un institut de formation en travail social comme d’autres, où les professionnels s’activent pour adapter les formations aux évolutions règlementaires, organisationnelles, dans le souci des étudiants. Puis, dans les mois qui suive... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDIRE LE TRAVAIL
Nombre de pages268
Langue du livreFrançais
AuteurCarrère Christine, Menaut Philippe, Bouthillier Mélanie, Montabrut Sylvie, Laibe Brigitte
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution15/12/2023
Poids4 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 14,00 x 20,50 cm
Récits de violences managériales dans une école en travail social
Jusqu’en 2014, c’est un institut de formation en travail social comme d’autres, où les professionnels s’activent pour adapter les formations aux évolutions règlementaires, organisationnelles, dans le souci des étudiants. Puis, dans les mois qui suivent l’arrivée d’un nouveau directeur, on compte plus d’une quarantaine de départs subis, conflictuels, douloureux. « Pédagogie, équipe, travail social, projets » sont des termes effacés du dictionnaire de l’institut, pour laisser place à « démarche qualité, bonne gouvernance » du côté de la direction, « licenciements, burn-out, inaptitude, faute grave » du côté des salariés. Tout cela sous le regard impuissant des instances sociales, des tutelles, des partenaires de l’institut. Sept salarié·es, formateurs ou administratifs, ont décidé d’écrire pour raconter leur vécu, remettre du sens et du discernement dans cette histoire institutionnelle traumatisante, dénoncer la maltraitance de leur travail et l’impunité de ceux qui en ont été responsables, affirmer les valeurs d’attention aux autres et de soins des relations qui devraient être au coeur du travail social. Postfaces de Philippe Gaberan et de Patrice Bride.