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Art noble

de Samosate Lucien, Hugo Victor, Gautier Théophile, Apollinaire Guillaume, Cravan Arthur, London Jack, Quément Fanny, d'Athènes Philostrate
Date de parution 09/11/2018
EAN: 9791094565346
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans sa magistrale Histoire de la boxe, Alexis Philonenko rappelle très justement que le premier combat de boxe à s’être disputé en littérature se trouve chez Homère, au livre xxiii de l’Illiade. Ainsi, force est de constater que les liens qui unisse... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurWAKNINE
Nombre de pages60
Langue du livreFrançais
Auteurde Samosate Lucien, Hugo Victor, Gautier Théophile, Apollinaire Guillaume, Cravan Arthur, London Jack, Quément Fanny, d'Athènes Philostrate
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution09/11/2018
Poids112 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,30 x 15,50 x 21,60 cm
Dans sa magistrale Histoire de la boxe, Alexis Philonenko rappelle très justement que le premier combat de boxe à s’être disputé en littérature se trouve chez Homère, au livre xxiii de l’Illiade. Ainsi, force est de constater que les liens qui unissent l’art pugillistique à l’art d’écrire ne datent pas d’avant-hier, même s’il faut bien admettre que les liens les plus forts datent de l’époque moderne, si l’on songe un instant au grand nombre d’écrivains à s’être intéressés à la boxe, à l’avoir même pratiquée pour certains. Il serait simple ici de citer déjà quelques premiers noms : Maeterlinck, Oates, Cravan, London, Camus, Hemingway, etc.Le présent ouvrage a pour ambition de retracer (depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours) à l’aide de quelques jalons prestigieux (que le lecteur ne manquera pas de savourer) l’histoire de ce rapport étrange entre écriture et boxe, comme si ces deux activités pouvaient présenter chacune à leurs manières des formes de luttes qui se feraient écho.De là, n’y aurait-il plus qu’un pas à faire pour oser sérieusement penser que la boxe comme la littérature ne sont pas des activités comme les autres, ne sont pas non plus des métiers, ne peuvent être des postures ni des impostures, et qu’elles vouent surtout celles et ceux qui s’y engagent à des risques sans nom ?