Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Corridor de sécurité

KoechlinGentis
Date de parution 08/04/2019
EAN: 9791094346235
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
> Quatrième de couverture :« Le vrai directeur de l’hôpital, c’est le malade ! » Leur devise pour une psychiatrie ouverte a valu à Edmée et Philippe Koechlin une invitation de l’université de Montréal, à enseigner et exercer la psychiatrie sur place ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurD UNE
Nombre de pages160
Langue du livreFrançais
AuteurKoechlinGentis
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution08/04/2019
Poids150 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)-
> Quatrième de couverture :« Le vrai directeur de l’hôpital, c’est le malade ! » Leur devise pour une psychiatrie ouverte a valu à Edmée et Philippe Koechlin une invitation de l’université de Montréal, à enseigner et exercer la psychiatrie sur place pendant un an... Cette expérience a donné lieu à un rapport, puis à un récit élaborés depuis le lieu le plus reculé de l’hôpital Saint-Jean-de-Dieu, dénommé « la salle X » : “Nous avons tenté d’analyser, de façon aussi scientifique que nous le pouvions, la situation que nous avons trouvée et la façon dont, par notre présence et l’action du groupe auquel nous avons tenté de nous intégrer, la situation a évolué” ».Rien n’en a été retiré pour la réédition de ce livre, paru en 1974 aux éditions Maspéro.> Extrait de la postface par Roger Gentis :« La leçon qu’ils en tirent, et qu’il faut proclamer, c’est que l’orientation technocratique actuelle de la psychiatrie dans les pays capitalistes, fondée sur les notions de rendement et de rentabilité, loin de travailler à détruire l’Asile, le pérennise et même le recrée là où il était en voie de disparition. La distinction entre malades à court, moyen et long terme, corollaire de la notion absurde de rentabilité des soins, est une stupidité criminelle de plus à mettre au compte des technocrates de la santé.Le récit dénonciateur des Koechlin est de ceux qui appellent avec urgence une réflexion politique ».