Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Un modèle collectiviste martiniquais : la SICA de Fond Saint-Jacques

Pago Gilbert, Flandrina Guy, Farraudière Sylvère
Date de parution 16/03/2020
EAN: 9791093143422
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La SICA de Fond Saint-Jacques est la première et la plus ancienne société d’intérêt collectif agricole de la Martinique. Sa naissance, en 1957, se situe à un moment crucial de l’histoire de la Martinique, ex-vieille colonie qui peine à endosser son t... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSCITEP
Nombre de pages236
Langue du livreFrançais
AuteurPago Gilbert, Flandrina Guy, Farraudière Sylvère
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution16/03/2020
Poids330 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,70 x 15,00 x 22,00 cm
La SICA de Fond Saint-Jacques
La SICA de Fond Saint-Jacques est la première et la plus ancienne société d’intérêt collectif agricole de la Martinique. Sa naissance, en 1957, se situe à un moment crucial de l’histoire de la Martinique, ex-vieille colonie qui peine à endosser son tout nouveau statut de département d’Outre-Mer. Depuis douze ans, les mutations se succèdent et s’accélèrent dans tous les domaines : rural, social, anthropologique, économique, politique… C’est une nouvelle étape pour le monde des campagnes martiniquaises et celui qui gravite autour de la « Transat » et du transport maritime, dont l’influence ne cesse de croître.En plaçant la vie quotidienne de la SICA au centre de cet ouvrage, Guy Flandrina fait un choix judicieux à au moins deux titres. En interrogeant les acteurs de l’époque, il souligne l’urgence de sauver de l’oubli ce qui peut l’être. Par l’étude des archives qu’il a su aller chercher, il analyse un modèle dont l’efficacité ne s’est jamais démentie en soixante ans d’existence. Au passage, le lecteur attentif saura y voir un hommage appuyé à un modèle de développement qui conserve plus que jamais sa pertinence dans la conjoncture actuelle.Et puisque ces dernières années, les anciennes colonies francophones des Antilles-Guyane ont entrepris d’écrire elles-mêmes leur histoire contemporaine, ce travail est aussi une précieuse contribution à cette – trop tardive ? – entreprise collective.