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Gloire - éviction des Femmes peintres 1770-1804

Bonnet Marie-Josèphe, Bonnet Marie-Josèphe
Date de parution 03/12/2024
EAN: 9791091609531
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
À la veille de la Révolution, un mouvement d’émancipation des femmes dans l’art voit le jour sous la conduite d’Elisabeth Vigée Le Brun et d’Adélaïde Labille-Guiard. Elles adoptent des stratégies inédites pour reculer les limites imposées aux «person... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHRYSEIS
Nombre de pages248
Langue du livreFrançais
AuteurBonnet Marie-Josèphe, Bonnet Marie-Josèphe
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution03/12/2024
Poids3 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 14,00 x 22,00 cm
À la veille de la Révolution, un mouvement d’émancipation des femmes dans l’art voit le jour sous la conduite d’Elisabeth Vigée Le Brun et d’Adélaïde Labille-Guiard. Elles adoptent des stratégies inédites pour reculer les limites imposées aux «personnes du sexe»: Entrée à l'Académie royale, participation aux salons, formation d’écoles. Cette dynamique identitaire se cristallise dans le genre de l'autoportrait constituant la part la plus originale et la plus neuve de leur contribution à la Révolution française et à l'histoire de l'art du XVIIIe siècle. Lorsque la Révolution se déclenche, les femmes artistes occupent une position enviable. Mais ce mouvement d'émancipation est vite brisé. Exclues des institutions républicaines les femmes renvoyées à un genre féminin étroit, sentimental et maternel qui finira par leur couper les ailes. Après avoir conquis la gloire, les voilà marginalisées du «nouveau régime des arts», mettant fin à une des périodes les plus riches de l’art français au féminin. Lorsque la Révolution se déclenche, les femmes artistes occupent une position enviable. Mais ce mouvement d'émancipation est vite brisé. Exclues des institutions républicaines les femmes renvoyées à un genre féminin étroit, sentimental et maternel qui finira par leur couper les ailes. Après avoir conquis la gloire, les voilà marginalisées du «nouveau régime des arts», mettant fin à une période riche de l’art français au féminin.