Dans des textes divers, classés en six rubriques (Histoires, Nouvelles, Syndicat, Chroniques humoristiques, Poésie, Chroniques), qui racontent des histoires totalement indépendantes, des passages de ma propre vie ainsi que des fictions, un fil conducteur traverse ici et là quelques récits : Adrien Jouans (mon avatar). Ce livre n’est pas un roman. Plutôt un recueil.Ces Lumières cendrées de l’aube, écrites à Troyes, et où le rationnel n’est pas la préoccupation première, tentent de mélanger de manière volontairement alogique des émotions d’amour, d’amitié, de colère, d’engagement, de joie, de tristesse, pour dessiner, ou plutôt esquisser, plusieurs pièces du puzzle humain sans chercher à les mettre à leur place. L’auteur n’est d’ailleurs pas sûr qu’elles aient chacune une place attitrée.Denis Canton, soixante-six ans, a passé trois ans sur le porte-avions Foch comme engagé volontaire après des études arrêtées au bac. Il a ensuite travaillé trente-quatre années dans une multinationale de bureautique jusqu’à sa retraite. Syndicaliste engagé et membre de diverses associations, il a le goût des contacts humains.
