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Business vert en pays pauvres

Duterme bernard, Duterme Bernard
Date de parution 13/03/2025
EAN: 9791039902786
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans la lutte contre les dérèglements climatiques et la destruction de la biodiversité, la communauté internationale n'en fait pas assez.Les pays riches rechignent à s'engager à la hauteur de leurs responsabilités, tandis que les pays pauvres dénonce... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSYLLEPSE
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurDuterme bernard, Duterme Bernard
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution13/03/2025
Poids224 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 13,50 x 21,50 cm
Dans la lutte contre les dérèglements climatiques et la destruction de la biodiversité, la communauté internationale n'en fait pas assez.Les pays riches rechignent à s'engager à la hauteur de leurs responsabilités, tandis que les pays pauvres dénoncent l'imposition intéressée de nouvelles normes environnementales non compensées.Pis, nombre de politiques dites «vertes» menées chez ces derniers par les premiers - par entreprises multinationales ou relais locaux interposés - aggravent la crise écologique et les injustices sociales.Les activistes écosocialistes d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine, certes minoritaires dans leur propre société, qualifient ces politiques de «fausses solutions», en cela qu'elles perpétuent un modèle de développement capitaliste prédateur, repeint en nouveau pacte durable.En cause, en vrac, la mise sous cloche conservationniste d'aires protégées, les mégaprojets de compensation carbone en échange de droits de polluer, les politiques de dépossession des terres, de privatisation, d'extraction de minerais, les accords commerciaux sur les ressources, les monocultures d'agrocarburants, la financiarisation du vivant, la marchandisation des services écosystémiques, le green business du capital naturel,?etc.L'ensemble procède d'une absorption de l'écologie par la logique libérale d'accumulation privative et, à ce titre, est taxé de «néocolonialisme vert» ou encore de «transition hégémonique». La tendance grève d'autant la dette écologique des pays riches à l'égard des pays pauvres. Et éloigne les uns et les autres des voies d'un développement partagé, juste et équilibré.