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Revue des Collèges de Clinique psychanalytique du Champ Lacanien n°22

Perez Pierre
Date de parution 08/03/2023
EAN: 9791037026583
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce numéro 22 de la revue des Collèges de clinique psychanalytique du champ lacanien prend son élan d’une question : « Qu’est-ce qu’une clinique psychanalytique ? » Pour Lacan cette « question commence à partir de ceci qu’il y a des types de symptômes... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurHERMANN
Nombre de pages248
Langue du livreFrançais
AuteurPerez Pierre
FormatPart-work (fascículo)
Type de produitLivre
Date de parution08/03/2023
Poids406 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 17,00 x 24,40 cm
Qu'est-ce qu'une clinique psychanalytique ?
Ce numéro 22 de la revue des Collèges de clinique psychanalytique du champ lacanien prend son élan d’une question : « Qu’est-ce qu’une clinique psychanalytique ? » Pour Lacan cette « question commence à partir de ceci qu’il y a des types de symptômes, qu’il y a une clinique. Seulement voilà : elle est d’avant le discours analytique, et si celui-ci y apporte une lumière, c’est sûr mais pas certain ». Si la psychanalyse n’est pas une science mais un discours, elle a pour tâche d’éclairer cette clinique qui la précède d’une façon originale, distincte des autres discours. En 1970, à l’occasion d’une intervention intitulée Apport de la psychanalyse à la sémiologie psychiatrique, Lacan revient sur le cas Aimée et interroge la différence entre sa position de psychiatre et de psychanalyste : « À la vérité, je ne vois pas une montagne ni rien qui me sépare de la façon dont j’ai procédé à cette époque-là. Ma patiente […]était vraiment très touchante. La façon dont j’ai procédé avec elle et ce que j’enseigne maintenant, je ne vois absolument aucune espèce de différence […]. Si on relit ma thèse, on voit cette espèce d’attention donnée à ce qui a été le travail, le discours de la patiente, l’attention que je lui ai apportée est quelque chose qui ne se distingue pas de ce que j’ai pu faire depuis. » Apporter la plus grande attention au discours du patient jusqu’à s’en laisser enseigner distingue le discours analytique de celui de la science. À cette condition le discours analytique est susceptible d’éclairer cette clinique qui le précède.Avec les contributions de : Sidi Askofaré, Isabelle Boudin, Laurent Combres, Nadine Cordova, Jean-Claude Coste, Armando Cote, Jean-Pierre Drapier, Alexandre Faure, Bruno Geneste, Isabelle Geneste, Françoise Gorog, Jean-Jacques Gorog, Brigitte Hatat, Marie-Noëlle Jacob Duvernet, Bernard Lapinalie, Marie-José Latour, Phillipe Madet, Jean-Paul Montel, Muriel Mosconi, Pierre Perez, Sophie Pinot, Patricia Robert, Colette Soler, François Terral, Dominique Touchon Fingermann, Jean-Michel Valtat.