Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Les 100 derniers jours du Parti Socialiste

Gaccio Bruno
Date de parution 18/01/2017
EAN: 9791020904683
Disponibilité Manque temporaire
Ça n'est pas si grave la mort d'un parti. Tout est mortel. Les choses naissent, croissent, atteignent leur apogée et déclinent. Puis elles meurent. Pour beaucoup d'entre nous, ce sera comme perdre un ami, une tristesse. Mais c'est inéluctable. Le PS... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLIENS LIBERENT
Nombre de pages224
Langue du livreFrançais
AuteurGaccio Bruno
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution18/01/2017
Poids265 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,40 x 14,50 x 22,00 cm
Ça n'est pas si grave la mort d'un parti. Tout est mortel. Les choses naissent, croissent, atteignent leur apogée et déclinent. Puis elles meurent. Pour beaucoup d'entre nous, ce sera comme perdre un ami, une tristesse. Mais c'est inéluctable. Le PS n'a plus aucune rationalité électorale. Un comble pour un parti qui se voulait réaliste et raisonnable. La mort du Parti socialiste aura lieu le 23 avril 2017. L'enterrement le 9 mai suivant. Peu importe la forme que prendra cette disparition, la pire étant que le nom reste, vide de sens, peuplé de vieux notables, vendant leur bonhomie pour quelques circonscriptions gagnables. Pitié, pas ça. Des maladies le rongeaient depuis 35 ans. Elles étaient mortelles: «Libéroencéphalite dégénérative», «Bordéloplastie», «Déboussolite rétractile», «syndrome de la Vallssette», «Surdité profonde», «Cécité totale», etc. Mais là où il fallait sans doute des remèdes de cheval, on lui a refilé des placebos... Repose en paix.