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Diplomatie occidentale et dissidence arabe. La France coloniale et le mouvement arabiste en Syrie

KAIS EZZERELLI
Date de parution 01/12/2014
EAN: 9789938957105
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce livre raconte les étapes du rapprochement atypique – et presque contre nature – du premier mouvement arabiste syrien, composé de musulmans autant que de chrétiens d’Orient, avec l’une des principales puissances coloniales de l’époque, la France, à... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDAR AL WASLA
Nombre de pages220
Langue du livreFrançais
AuteurKAIS EZZERELLI
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/12/2014
Poids350 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 15,00 x 21,00 cm
Ce livre raconte les étapes du rapprochement atypique – et presque contre nature – du premier mouvement arabiste syrien, composé de musulmans autant que de chrétiens d’Orient, avec l’une des principales puissances coloniales de l’époque, la France, à la veille de la Première Guerre mondiale. Son originalité réside dans le lien qu’il établit entre ce rapprochement et une série de phénomènes qui lui sont liés : le bouleversement de la situation militaire et territoriale dans l’Empire ottoman, l’évolution des rapports entre Jeunes-Turcs et réformistes syriens, les accords de partage d’influence entre les puissances européennes et enfin, les accords économiques entre celles-ci et l’Empire ottoman. Il décortique les processus par lesquels un mouvement politique dissident, de dimension relativement modeste, a pu être instrumentalisé par des diplomates avertis, appuyés par un puissant lobby colonial, pour faire avancer l’influence de leur pays en Syrie. Ce faisant, il met en évidence des lignes de force profondément ancrées dans l’histoire et qui semblent toujours à l’œuvre dans la diplomatie française en Syrie, par-delà les deux guerres mondiales, la décolonisation et l’ère des indépendances dans le monde arabe. Sans tomber dans le piège de l’anachronisme, il montre que l’histoire peut contribuer à éclairer certaines questions contemporaines.