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CE QUI NE MEURT JAMAIS

Bourdelas Carline, de l’Ecotais Emmanuelle
Date de parution 04/10/2023
EAN: 9782958799618
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Pour ce projet conçu dans le cadre de la résidence photofood4 à Deauville pour le festival Planches contact, Carline Bourdelas a choisi de puiser son inspiration dans des personnages et des paysages normands lui était chères. Premier projet abouti d’... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPROCESS
Nombre de pages80
Langue du livreFrançais
AuteurBourdelas Carline, de l’Ecotais Emmanuelle
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution04/10/2023
Poids-
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 22,00 x 27,00 cm
Pour ce projet conçu dans le cadre de la résidence photofood4 à Deauville pour le festival Planches contact, Carline Bourdelas a choisi de puiser son inspiration dans des personnages et des paysages normands lui était chères. Premier projet abouti d’une résidence d’artiste autodidacte, « Celui ne meurt jamais » reflète autant l'imaginaire de Proust que la sensibilité de la photographe, entièrement dédiée à sa recherche.Carline Bourdelas, à force de tenter « d’approcher l’âme de Proust » est devenue ses yeux mêmes : les descriptions de l’auteur, toutes ces images fugitives de la mer et du ciel que le narrateur fixe dans sa chambre du Grand Hôtel de Balbec, et qui se reflètent dans le carreau de la fenêtre ou dans le vitrage d’une bibliothèque, elle les a vues et rejouées. Elle est allée à la recherche de Proust sur les plages de Cabourg, dans sa chambre d’hôtel... Quand elle écrit « si parfois je me suis perdue dans son œuvre, son écriture musicale, les couleurs de ses images, la puissance de ses mots m’ont empêchée de renoncer. Son œuvre est hypnotisante. », c’est qu’inconsciemment elle y a vu les photographies imaginées par Proust ; on mesure à quel point la finesse de sa sensibilité a permis un rendu quasi littéral des sentiments évoqués par l’auteur. Le style adopté, qu’il s’agisse du flou ou de la répétition, participe de cette volonté de rendre percep- tible le changement opéré, le temps écoulé et la narration, allant jusqu’à incarner la passion même qu’éprouvait Proust pour la photographie, qu’il considérait comme « délicieusement vivante ».