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Épaulard et Diodon

Ouvrage Collectif ECPAD
Date de parution 19/10/2023
EAN: 9782958399061
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Beyrouth, 1982, au coeur d'une capitale divisée par la guerre civile. La France, d'abord au sein de la FINUL, puis dans les forces multinationales, aux côtés des États-Unis et de l'Italie, est investie d'une mission impossible : protéger les civils e... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurECPAD
Nombre de pages252
Langue du livreFrançais
AuteurOuvrage Collectif ECPAD
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution19/10/2023
Poids1550 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,40 x 23,50 x 28,50 cm
Protéger Beyrouth 1982-1984
Beyrouth, 1982, au coeur d'une capitale divisée par la guerre civile. La France, d'abord au sein de la FINUL, puis dans les forces multinationales, aux côtés des États-Unis et de l'Italie, est investie d'une mission impossible : protéger les civils et restaurer la souveraineté de l'État libanais, fracturé par les tensions politiques et religieuses. Introduit par l'historien Pierre Razoux et rassemblant plus de 180 images prises par les photographes militaires de l'Établissement cinématographique et photographique des armées, Épaulard et Diodon, protéger Beyrouth 1982-1984 revient sur le quotidien opérationnel du contingent français au Liban, entre mai 1982 et mars 1984. Blindés de Tsahal, fedayin palestiniens, miliciens de la gauche progressiste, factions chiites, phalanges chrétiennes : les unités d'élite de l'armée française côtoient pendant deux ans tous les acteurs de la « déchirure libanaise ». Mois après mois, les photographes suivent les activités des soldats et des marins engagés dans des opérations d'une extrême complexité, car, très vite, l'opposition à la présence occidentale et à la présidence d'Amine Gemayel fait du contingent français une cible privilégiée des attentats. L'escalade de la violence culmine avec l'attentat de l'immeuble Drakkar, le 23 octobre 1983 à 6 h 24, qui cause à l'armée française sa plus lourde perte en une seule journée depuis la guerre d'Algérie : cinquante-huit parachutistes trouvent la mort ce jour-là, prix de l'engagement de la France pour la paix au Liban.