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Pourquoi l’Ecole va-t-elle si mal ?

Déka Gilles
Date de parution 02/08/2023
EAN: 9782958345662
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Gilles Déka a passé plus d’une quarantaine d’années au sein de l’Éducation nationale, en ayant exercé la quasi-totalité des fonctions d’enseignement et de direction. Dans ce livre, il donne des réponses pour comprendre la crise identitaire des métier... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurGUILLOTINE
Nombre de pages156
Langue du livreFrançais
AuteurDéka Gilles
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution02/08/2023
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,10 x 13,00 x 20,00 cm
Trucages, immobilisme, faux-semblants
Gilles Déka a passé plus d’une quarantaine d’années au sein de l’Éducation nationale, en ayant exercé la quasi-totalité des fonctions d’enseignement et de direction. Dans ce livre, il donne des réponses pour comprendre la crise identitaire des métiers qui s’aggrave et la baisse du niveau des résultats scolaires. Cela dans un contexte où une plainte collective des personnels qui vivent avec un sentiment d’impuissance à réduire toutes les formes de fractures de notre société : scolaire, numérique ou sociale. Mais comment se fait-il que depuis les années 90, et cela malgré les réformes et les alternances politiques, rien ne semble déterminant pour faire advenir en profondeur de quelconques changements ou plus efficacement une vision stratégique ? En dépit de leurs discours et de leurs incantations, ce sont les acteurs-mêmes du système, qui paradoxalement, nourrissent l’immobilisme. Même l’éthique évolutive du métier n’y fait rien. Tout en dénonçant les moyens affectés, les personnels semblent comme se complaire collectivement dans cette posture. Involontairement, ils nourrissent le mécanisme de défiance croissant à l’égard du système éducatif. À l’inverse des acteurs de terrain, dit-on généralement, ce sont dans ce cas d’espèce les cadres supérieurs qui portent une lourde responsabilité, au regard de ce statu quo. Le propos de ce livre pose en effet l’hypothèse que cet immobilisme permanent s’autonourrit, et sert en fait les acteurs du système eux-mêmes, comme s’il s’agissait involontairement d’une sorte de carburant existentiel ! L’administration s’auto-administre et les professeurs sont dans la plainte ! L’auteur détaille les processus pour chaque catégorie, face à l’absence de stratégie éducative et pire face aux oubliés paradoxaux des discours, les élèves ! Une analyse des paradoxes de bon nombre d' acteurs de l’École qui conduisent en réalité toute l'institution à son immobilisme : des acteurs de premier plan mais dans l'ombre de l'impunité et que ces pages démasquent. Gilles Déka ose en révéler les comportements.