Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

ENVER HOXHA Le Tyran Sanguinaire

FEVZIU Blendi, BUDA Klara, AUBRY (traducteur) Michel
Date de parution 11/11/2019
EAN: 9782955904619
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Jusqu’à sa mort Enver HOXHA dirigea l’Albanie d’une main de fer et imposa à l’histoire sa version des faits. Cette biographie révèle des informations inédites et troublantes, peint en même temps la sombre histoire de l’Albanie totalitaire, le cauchem... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBILINGUE
Nombre de pages450
Langue du livreFrançais
AuteurFEVZIU Blendi, BUDA Klara, AUBRY (traducteur) Michel
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution11/11/2019
Poids450 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,70 x 14,50 x 20,50 cm
Jusqu’à sa mort Enver HOXHA dirigea l’Albanie d’une main de fer et imposa à l’histoire sa version des faits. Cette biographie révèle des informations inédites et troublantes, peint en même temps la sombre histoire de l’Albanie totalitaire, le cauchemar d’un peuple face à la logique kafkaïenne d’un des régimes les plus atroces que le bloc de l’Est ait jamais connu. Qui est-il ? C’est un dandy très fier de sa personne ! Un Albanais parlant parfaitement le français pour les uns, un raté incapable d’obtenir un seul diplôme pour les autres, mais les multiples facettes du personnage, révélées dans cette biographie nous montrent un homme cruel, avide et opportuniste ! Un dictateur sanguinaire coupable d’assassinats, de déportations et d’arbitraires. Loin de l’idée générale qu’on se fait des pays totalitaires de l’ex-bloc de l’Est dont l’idéal dominant était la justice distributive, force est de constater les dérives autoritaires du système dans sa gestion et dans son administration de l’État. La fin de la Seconde Guerre mondiale trouve l’Albanie avec un système social tribal et semi-féodal. Elle n’a pas d’université, presque pas d’industrie, et son élite formée à l’étranger n’a pas de prise sur les réalités locales. La bourgeoisie naissante a peu d’influence. Les trois confessions : catholiques, orthodoxes et musulmans, partagent une influence diminuée pendant l’essor du mouvement indépendantiste albanais qui aboutit à la création de l’État Albanais en 1912. Enver Hoxha va utiliser ces facteurs socio-culturels pour consolider son pouvoir. Ses adeptes sont recrutés parmi les ex-partisans, et s’ils ne sont pas complètement analphabètes, ils n’ont pas une éducation solide, et sont susceptibles de le suivre aveuglement, car leurs croyances pouvant facilement se couler dans le nouveau moule offert par les ‘communistes’. S’inspirant des traditions, de l’esprit patriotique et patriarcal, il va mettre en avant le nationalisme albanais. Il va mettre en valeur l’image de l’homme fort, providentiel et héroïque. Se fondant sur la mentalité féodale patriarcale et l’égoïsme primitif, il va utiliser son pouvoir à manipuler et à utiliser largement cette catégorie sociale dans l’intérêt de ses ambitions et de sa politique.L’exécution d’une étudiante de 21 ans, en mars 1943, avait choqué l’opinion publique, annonçant la brutalité du régime à venir. Accusée à tort d’avoir flirté avec un berger, une jeune communiste avait été jugée par une cour martiale et condamnée à mort. Elle fut fusillée devant 400 hommes d’une brigade d’une façon que même la charia ne peut envier. L’homme qui prétendait lui avoir volé un baiser et à cause de qui elle fut tuée, reprit bien vite ses fonctions. Pendant un demi-siècle, les intellectuels opposés à la politique d’Enver Hoxha et tous les rivaux politiques de ce dernier connurent la mort, la prison, la relégation et le travail forcé. Cette biographie aidera à comprendre la situation actuelle, une longue transition vers la démocrat