Le principe à l'origine de l'écriture Mandombe et ses implications

Parcourant le passé de la civilisation égypto-pharaonique, l’auteur de l’ouvrage « Le principe à l’origine de l’écriture Mandombe et ses implications » nous relate dans un premier temps l’apport civilisationnel et universel du Medu Neter (Hiéroglyphes égyptiens), mère biologique incontestée et incontestable des écritures modernes telles que les écritures grecque et latine. Ensuite l’origine des chiffres universels (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) par le biais des nombres incisés dans les os d’Ishango mis en place 23 000 ans avant notre ère par les paléo-mathématiciens d’Ishango au Bassin du Congo, source lointaine de l’Egypte antique.Ce sont ces mêmes chiffres [5 & 2] sous une autre forme graphique que s’est servi, Kimbangu, le roi de nombres pairs et impairs, partant du principe Mandombe [52], pour permettre la matérialisation d’une nouvelle écriture dénommée écriture Mandombe ô combien indispensable pour, non seulement la réhabilitation des langues africaines telle que prédite par Kimbangu lui-même dans sa prophétie magistrale du samedi 10 septembre 1921 à Mbanza Nsanda mais aussi la revalorisation de l’identité culturelle de l’Afrique et sa diaspora. Mais au-delà de l’écriture Mandombe, le principe Mandombe confirme la prophétie de Kimbangu sur les trois quart d’inventions scientifiques et technologiques d’autant plus que les implications de ce principe divin revisitent plusieurs domaines scientifiques, technologiques, artistiques et linguistiques avec pour finalité de parvenir aux réalisations scientifiques et technologiques Mandombe.Cet ouvrage savamment rédigé, alliant plusieurs champs d’investigation, à savoir l’archéologie, l’histoire, l’anthropologie, la linguistique, etc., tient lieu d’une recherche fondamentale qui suscitera un engouement certain à une recherche à la fois épistémologique et philosophique sur le principe Mandombe et ses dérivés scientifiques.