MERCI LA DYSPRAXIE

Plutôt que d’insister sur des traitements particuliers pour des élèves porteurs d’un trouble de la dysPRAXIE, l’enseignant offre ainsi un environnement pédagogique de qualité, des aménagements légitimes pour quelques-uns au bénéfice de TOUS ! Cela permet d’affirmer : « MERCI les DYS »Ludivine HALLOY et Anne-Catherine JAMART mettent leur expérience pratique ET théorique au service de l’ensemble de la classe.Plutôt que d’insister sur des traitements particuliers pour des élèves porteurs d’un trouble de la dysPRAXIE, l’enseignant offre ainsi un environnement pédagogique de qualité, des aménagements légitimes pour quelques-uns au bénéfice de TOUS ! Cela permet d’affirmer : « MERCI les DYS ».Voici un extrait de leur introduction :« Nous sommes cependant conscientes que le partenariat enseignant - thérapeute n’est pas simple car les métiers appartiennent à des champs différents : la formation est différente, le langage professionnel est différent, le rapport à l’enfant/au patient, les référentiels sont différents, ... Dans le milieu scolaire, les enseignants connaissent peu ou mal les mécanismes pathologiques qui sous-tendent les troubles d’apprentissage à l’école. Il existe également des difficultés pour accepter les différences de l’enfant et une tendance à vouloir le comparer à la norme. Il persiste des obstacles réels à proposer des aménagements scolaires surtout lors des évaluations (sous peine de ne pas répondre à la notion d’équité). Dans le milieu thérapeutique, le responsable de la prise en charge, quant à lui, n’est pas toujours conscient des obstacles rencontrés au sein d’un groupe-classe (programme, taille importante, comparaison, etc.).Dans chaque ouvrage de la collection « MERCI les DYS », nous détaillerons chaque trouble (dyslexie, dysphasie, dysorthographie, ...) selon une démarche similaire : Tout d’abord un aperçu théorique ainsi que ses manifestations cliniques. Ensuite, les adaptations pédagogiques à mettre en place pour l’ensemble de la classe, en tenant compte de la réalité scolaire. Enfin, nous aborderons les éléments à éviter afin de ne pas mettre l’élève en difficulté.»