Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Le Concours du prix de Rome de musique (1803-1968)

LU Julia, DRATWICKI Alexandre, MARTIN Marie-Pauline
Date de parution 17/08/2011
EAN: 9782914373517
Disponibilité Epuisé
Par son prestige, le prix de Rome fut, entre 1803 et 1968, l’objet de toutes les convoitises et de toutes les cabales. Taxé d’académisme, dénigré voire moqué, il est aujourd’hui devenu le synonyme du mauvais goût d’un « romantisme » jugé décadent. Po... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSYMETRIE
Nombre de pages912
Langue du livreFrançais
AuteurLU Julia, DRATWICKI Alexandre, MARTIN Marie-Pauline
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution17/08/2011
Poids1895 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)6,30 x 17,00 x 24,00 cm
(1803-1968)
Par son prestige, le prix de Rome fut, entre 1803 et 1968, l’objet de toutes les convoitises et de toutes les cabales. Taxé d’académisme, dénigré voire moqué, il est aujourd’hui devenu le synonyme du mauvais goût d’un « romantisme » jugé décadent. Pourtant, un constat s’impose : au lieu de se borner à la répétition annuelle d’un processus immuable, le prix de Rome s’adapte en fait souplement à des contingences pédagogiques, politiques et esthétiques remises en question de façon permanente. Première étude d’envergure sur le sujet, ce collectif d’auteurs propose une vue d’ensemble de l’histoire de l’épreuve et de son fonctionnement, en même temps qu’il offre plusieurs focalisations sur des aspects précis du concours (l’importance du prix dans la carrière d’un compositeur, la subjectivité des discours berlioziens, les rapports politiques entre Institut et État, la liberté de créativité face à la contrainte du « style académique », l’ouverture du concours aux femmes, etc.). Il devenait urgent de rendre à cette institution trop souvent critiquée – mais à dire vrai mal connue – sa véritable place dans l’histoire de la musique française, et de rectifier les mythes et croyances qui entourent encore le si célèbre « prix de l’Institut »… lequel compte parmi ses lauréats Berlioz, Gounod, Bizet, Massenet, Debussy et Dutilleux !