Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Un nouveau commerce de la virtuosité

DRATWICKI Alexandre, GRIBENSKI Jean
Date de parution 13/02/2006
EAN: 9782914373111
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La popularité de la symphonie concertante en France coïncida exactement avec le goût d’une époque : celui du classicisme (environ 1770-1830). Le genre permit d’entendre les meilleurs virtuoses de la capitale rivaliser dans des textures instrumentales... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSYMETRIE
Nombre de pages425
Langue du livreFrançais
AuteurDRATWICKI Alexandre, GRIBENSKI Jean
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution13/02/2006
Poids636 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,70 x 15,00 x 21,00 cm
émancipation et métamorphoses de la musique concertante
La popularité de la symphonie concertante en France coïncida exactement avec le goût d’une époque : celui du classicisme (environ 1770-1830). Le genre permit d’entendre les meilleurs virtuoses de la capitale rivaliser dans des textures instrumentales souvent étonnantes. Dès la fin du règne de Louis XVI, la musique concertante fut envisagée comme un élément publicitaire essentiel dans la stratégie commerciale de certaines institutions parisiennes. Sans quitter la scène du concert traditionnel, elle s’inséra parallèlement dans les représentations dramatiques données à l’Opéra-Comique et à l’Opéra. Utilisée d’abord comme divertissement pendant les entractes, cette musique fit bientôt partie intégrante des ouvrages qu’elle ponctuait jusqu’alors. Plusieurs formules hybrides apparurent, comme l’ouverture « en symphonie concertante » ou l’air avec plusieurs instruments solistes, éventuellement exécutées dans des contextes surprenants (notamment la musique religieuse de Paisiello ou Plantade pour la chapelle des Tuileries). L’innovation la plus originale fut sans doute le potentiel chorégraphique que révéla cette musique dans le cadre des ballets-pantomimes modernes de Gossec, Catel ou Méhul.