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Psychologie politique et la défense sociale

Le Bon Gustave, Duverger Pierre
Date de parution 15/05/2008
EAN: 9782913044920
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Introduction de Pierre Duverger.Ce livre a tout dit : c’est pourquoi sa lecture peut amener à désespérer. Publié il y a près d’un siècle, fruit de cinquante années de méditations du docteur Gustave Le Bon (il avait 70 ans en 1911), il symbolise l’inu... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDETERNA
Nombre de pages340
Langue du livreFrançais
AuteurLe Bon Gustave, Duverger Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/05/2008
Poids310 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 14,60 x 21,00 cm
Introduction de Pierre Duverger.Ce livre a tout dit : c’est pourquoi sa lecture peut amener à désespérer. Publié il y a près d’un siècle, fruit de cinquante années de méditations du docteur Gustave Le Bon (il avait 70 ans en 1911), il symbolise l’inutilité des bons écrits et le sens mor­bide que nous avons à suivre surtout les mauvais ber­gers. Des hom­mes comme Gustave Le Bon, Alexis Carrel ou Gunther Schwab, n’étant pas des discoureurs politiciens à l’affût de suffrages, ne sont jamais écoutés.Nous fuyons toujours les évidences et les réalités pour nous réfugier dans le rêve, la chimère et l’illusion, même en sentant confusément l’irréalisme de cette attitude. D’où le succès du socialisme, qui est à l’homme ce que le ca­pu­chon est à l’au­truche.Nous sommes, en Occident et plus particulièrement en France, embarqués sur un immense Titanic, gais, confiants, infatigablement bavards, avec flon-flons d’orches­tre, jeux de cirque, buffets garnis, beaux habits et robes du soir. À notre bord, c’est la fête… C’est toujours la fête. L’iceberg est là, tapi dans la nuit. Il attend la fin du voyage commencé il y a 1 000 ans. Il sait bien qu’il engloutira cette ferraille bour­rée de faibles cervelles futiles.Ce qui caractérise notre « élite », c’est, entre autres, son effroyable lâcheté. Ses rares bons éléments sont mainte­nant noyés dans la pouilleuse plèbe accourue des quatre coins du monde à la curée de notre patrie, pays de la liberté, du li­ber­tinage et des allocations familiales.Des décennies d’antipatriotisme, de système D, de grèves, de défilés, de haines de classes et de tout, de drogues, de guer­res fratricides, d’obsession de sexe, de jalousies d’in­ca­pa­bles, de discours creux, de supporters pour football, de libé­ra­­lisme, de lois « sociales » excessives, d’antiracisme, de pi­lule, d’étatisme, d’africanisation forcenée, de freudisme, de musi­que hysté­ri­que, de laxisme, d’UNESCO, de gueu­letons, de Picasso, d’anar­chie, de CGT, d’impéritie, de fast-food, d’hu­­mani­ta­risme, d’irrationnel, de fonctionna­risa­tion des esprits, de ciné-porno, de gas­pillage et de refus d’avan­cer vers un idéal sain. Tout ceci nous a systé­matiquement trans­formé en un troupeau d’ahuris émas­culés, parfait gibier de Sibérie.C’est une fantastique épidémie mentale qui s’est abat­tue sur nos pays et le mal est si profond qu’il semble maintenant impossible à juguler, sauf un sursaut national toujours pos­sible, pouvant intervenir dans la misère, c’est-à-dire lorsque l’instinctif prendra le pas sur le mondialisme qui désintègre notre société. Colonisés par le haut et par le bas, le sort des Européens peut sembler maintenant définitive­ment scellé.Mais… un affreux petit espoir peut venir de la brutalité des Blancs de l’Est.