Le mythe de la contagion - Pourquoi les virus (y compris le Coronavirus) ne sont pas la cause des maladies

Existe-t-il vraiment des « virus » ? Ou bien l’électrosmog, les conditions de vie toxiques et la 5G sont-ils en fait à l’origine du Covid-19 ? Selon l’explication officielle, la cause de la pandémie de Covid-19 est un « virus dangereux et infectieux ». Toutes les mesures des autorités pour l’enrayer reposent sur le postulat que de minuscules virus peuvent provoquer des maladies graves transmissibles d’une personne à l’autre. C’est Louis Pasteur qui avait convaincu une communauté médicale sceptique que les germes contagieux étaient à l’origine des maladies ; sa « théorie des germes » est aujourd’hui l’explication officielle de la plupart des maladies – lui qui a pourtant, dans ses journaux intimes et à la fin de sa vie, admis que tout l’effort pour prouver la contagion était un échec. De nombreuses personnes soupçonnent que la cause du Covid-19 n’est pas virale, mais qu’il s’agit d’une forme de pollution propre à l’ère moderne : la pollution électromagnétique. La dernière innovation en la matière est le sans-fil de cinquième génération (5G). Le 26 septembre 2019, la 5G a été mise en service à Wuhan, en Chine, avec un réseau d’environ 10 000 antennes – plus qu’il n’en existe dans l’ensemble des États-Unis, toutes concentrées dans une seule ville. Un pic de cas s’est produit le 13 février, la même semaine où Wuhan a mis en service son réseau 5G pour surveiller le trafic. Les maladies ont ensuite suivi l’installation de la 5G dans toutes les grandes villes américaines… Depuis l’aube de l’humanité, les médecins se sont interrogés sur la cause des maladies, en particulier sur ce que l’on appelle les « contagions », c’est-à-dire la présence simultanée de nombreuses personnes malades présentant des symptômes similaires. L’humanité subit-elle ces épidémies à cause d’un dieu en colère ou d’un esprit maléfique ? d’une perturbation de l’atmosphère, d’un miasme ? Attrapons-nous la maladie des autres ou d’une influence extérieure ? Un paquet de fragments d’ARN, qui ne peut même pas être défini comme un organisme vivant, peut-il causer de tels ravages ? Peut-être s’agit-il de quelque chose d’autre, qui a bouleversé l’équilibre de la nature et nous a rendus plus vulnérables aux maladies ? Peut-être n’y a-t-il pas de « coronavirus » du tout ; peut-être que, comme l’a dit Pasteur, « le microbe n’est rien, le terrain est tout » ?