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SI JE MEURS UN SOIR

DARTEVELLE ANDRE
Date de parution 23/04/2018
EAN: 9782872671922
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Ce sont mes films qui me sauvèrent. Mes films et la culture, cette somme d’idées et d’expériences sociales vécues dans ma jeunesse. Je persiste à croire que la révolution se fera, que c’est la démocratie elle-même qui suggère ce genre de mutation. ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCERISIER
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurDARTEVELLE ANDRE
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution23/04/2018
Poids401 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 14,80 x 21,80 cm
mémoire
« Ce sont mes films qui me sauvèrent. Mes films et la culture, cette somme d’idées et d’expériences sociales vécues dans ma jeunesse. Je persiste à croire que la révolution se fera, que c’est la démocratie elle-même qui suggère ce genre de mutation. La démocratie n’existe pas quand les institutions n’évoluent plus. Couplée au développement de la pensée et de la réflexion critique, elle suppose des transformations profondes initiées et acceptées par la collectivité. Si celles-ci ne se font pas, ce sera le choc révolutionnaire. La révolution en faveur de l’émancipation et de la justice vaut mieux que la contre-révolution, celle du fascisme, née de l’abattement et de la désolation d’une partie de la population qui accuse la démocratie d’être la cause de son désarroi. Je pense que la découverte de nouvelles utopies mène à une nouvelle vision de la société. »Les Mémoires ont toujours des failles, parfois elles peuvent être injustes. Celles d’André Dartevelle ne font pas exception mais le document qu’il nous laisse est exceptionnel. Pour la compréhension de l’homme et de l’œuvre évidemment mais aussi sur la signification profonde du cinéma documentaire qu’incarnait ce « cinéaste résistant ». Il nous rappelle aussi ce que pouvait produire une télévision de service public dont les exigences culturelles et citoyennes étaient alors à la hauteur du respect de son public. L’homme se livre, le cinéaste se (re)découvre, l’intellectuel nous interpelle. Ses questions sont plus que jamais les nôtres.(Extrait de la préface de Hugues Le Paige)