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La pensée de Parménide

Couloubaritsis Lambros
Date de parution 31/03/2009
EAN: 9782870601426
Disponibilité Indisponible
Ce livre constitue une nouvelle version, modifiée et augmentée de Mythe et Philosophie chez Parménide (1986, 1990).Parallèlement à une réévaluation de la question du mythe qui différencie le mythos comme la façon de parler autorisée qui produit un ef... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurOUSIA
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurCouloubaritsis Lambros
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution31/03/2009
Poids620 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,40 x 14,00 x 21,50 cm
Ce livre constitue une nouvelle version, modifiée et augmentée de Mythe et Philosophie chez Parménide (1986, 1990).Parallèlement à une réévaluation de la question du mythe qui différencie le mythos comme la façon de parler autorisée qui produit un effet, et le logos comme discours catalogique par l’intégration, en plus des généalogies, des mythes du voyage et des chemins en vue du savoir, cette nouvelle livraison refuse, pour l’eon, le sens anachronique d’« être » ou d’« étant », et distingue eon / eonta (ce qui est dans le présent / choses qui sont dans le présent) et on / onta (ce qui est ou étant / choses qui sont ou étants), accordant une prééminence au temps, en l’occurrence au « maintenant ». Par là, l’auteur prend davantage encore ses distances par rapport aux interprétations dominantes, et propose comme centre d’analyse le penser et la pensée. Cela laisse percevoir, par la transmutation du mythe archaïque, l’émergence de la philosophie comme aspiration au savoir. Le Proemium manifeste, d’une part, une origine et une genèse mythiques du savoir et, d’autre part, une anticipation également mythique de cette nouvelle physique (à laquelle aboutit la seconde Partie). Le cheminement entrecoupé par l’irruption de la pensée comme ce qui, en l’homme, puise sa continuité en lui-même dans l’inflexibilité de « Ce qui est dans le présent », équilibrant ainsi la force différenciante de la parole (première Partie), qui n’empêche pas à la plénitude de s’enraciner dans la flexibilité de la physis, où la faculté de penser s’institue.