Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

DERNIERS JOURS (LES), 1927

BERL PIERR EMMANUEL
Date de parution 02/10/1997
EAN: 9782858930272
Disponibilité Epuisé
C'est en 1926 qu'Emmanuel Berl comprend que « tout est foutu ». Il crée alors, avec son ami Drieu la Rochelle un petit journal qui rend compte de cette angoisse devant « la misérable condition spirituelle de l'Europe ». Un « petit cahier d'observatio... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurJEANMICHELPLACE
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurBERL PIERR EMMANUEL
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution02/10/1997
Poids190 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)-
C'est en 1926 qu'Emmanuel Berl comprend que « tout est foutu ». Il crée alors, avec son ami Drieu la Rochelle un petit journal qui rend compte de cette angoisse devant « la misérable condition spirituelle de l'Europe ». Un « petit cahier d'observation résumée et d'ultime débat », cahier politique et littéraire qui mène une importante réflexion sur la possible révolution communiste, le rôle de la bourgeoisie et du catholicisme. Berl, qui affirme que la politique ne peut plus être pensée que sous la seule catégorie de la révolution se révèlera extrêmement lucide sur le progrès du monde occidental. Il écrira des années plus tard : « Jusqu'à la bombe d'Hiroshima, il fallait, non seulement un esprit anormalement pessimiste, pour se demander : L'homme fait-il ou subit-il cette révolution ? il croit l'avoir déclenchée ; est-il capable de l'arrêter, même de la ralentir ? j'ai posé la question dans Les Derniers Jours en 1930 : elle n'a guère éveillé ni l'attention ni l'intérêt. Aujourd'hui seulement, l'angoisse s'est répandue, la mutation cessera-t-elle dès qu'elle s'avèrera maléfique ? L'homme ne devra-t-il pas subir, fût-ce malgré soi, ses automobiles comme le paon son plumage ou le cerf la démesure de ses bois. »