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Critique musicale, volume 10 : 1860-1863

BERLIOZ Hector, BONGRAIN Anne, COUDROY-SAGHAI Marie-Hélène
Date de parution 01/09/2020
EAN: 9782853572682
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Alors que Berlioz entame en 1860 ses dernières années de collaboration au Journal des débats, le monde musical est en émoi avec l’arrivée de Wagner, venu conquérir Paris. Hermétique à la « musique de l’avenir », Berlioz préférera confier à son ami d’... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSFM
Nombre de pages650
Langue du livreFrançais
AuteurBERLIOZ Hector, BONGRAIN Anne, COUDROY-SAGHAI Marie-Hélène
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/09/2020
Poids1250 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,50 x 16,50 x 24,00 cm
volume 10 : 1860-1863
Alors que Berlioz entame en 1860 ses dernières années de collaboration au Journal des débats, le monde musical est en émoi avec l’arrivée de Wagner, venu conquérir Paris. Hermétique à la « musique de l’avenir », Berlioz préférera confier à son ami d’Ortigue le compte rendu de Tannhäuser, représenté à l’Opéra en 1861.Malgré cette création et quelques autres, comme celles de Pierre de Médicis de Joseph Poniatowski, La Statue de Reyer ou La Reine de Saba de Gounod, le répertoire de l’Opéra est d’une désespérante monotonie. Cependant, la reprise d’Alceste, avec la bouleversante Pauline Viardot dans le rôle-titre, stimule Berlioz, qui consacre aux œuvres inspirées par l’Alceste d’Euripide six articles pour mieux souligner le génie dramatique de Gluck. Très actifs au contraire, le Théâtre-Lyrique et l’Opéra-Comique montent une quarantaine d’ouvrages, parmi lesquels nombre de créations, et la représentation de Fidelio en français dont Berlioz rend compte avec ferveur.Les concerts continuent à un rythme effréné, et Berlioz ne sait plus quels éloges trouver pour tous ces virtuoses solistes, chambristes, et ces orchestres qui, comme dans les concerts populaires de Pasdeloup au Cirque Napoléon, améliorent le goût du public.Même s’il obtient un vif succès à Bade avec Béatrice et Bénédict dans lequel Anne Charton-Demeur l’enchante, Berlioz est épuisé par sa santé qui se dégrade, démoralisé par la méfiance qu’inspirent Les Troyens pour être joués, et tout à fait lassé de son métier de critique. L’occasion de démissionner se présente enfin et le 8 octobre 1863, il signe son dernier article du Journal des débats, sur Les Pêcheurs de perles de Bizet. Un monde se referme, un autre s’ouvre…