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Vingt-Quatre Préludes et fugues

CHOPIN Frédéric, BACH Johann Sebastian, EIGELDINGER Jean-Jacques
Date de parution 01/03/2010
EAN: 9782853570213
Disponibilité Manque temporaire
J.-S. Bach et son Clavier bien tempéré ont été des figures tutélaires pour maints compositeurs du XIXe siècle, de Beethoven à Brahms, de Mendelssohn et Schumann à Franck et Fauré, d’Alkan et Boëly à Liszt et Schoenberg. Venu d’un autre horizon, Chopi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSFM
Nombre de pages184
Langue du livreFrançais
AuteurCHOPIN Frédéric, BACH Johann Sebastian, EIGELDINGER Jean-Jacques
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution01/03/2010
Poids1190 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 28,80 x 21,60 cm
Le Clavier bien tempéré, livre I, annoté par Frédéric Chopin
J.-S. Bach et son Clavier bien tempéré ont été des figures tutélaires pour maints compositeurs du XIXe siècle, de Beethoven à Brahms, de Mendelssohn et Schumann à Franck et Fauré, d’Alkan et Boëly à Liszt et Schoenberg. Venu d’un autre horizon, Chopin a été éduqué à Varsovie dans le culte des Préludes & Fugues, qu’il savait par cœur au point de jouer impromptu « plus de la moitié d’un recueil ». Bach est à la source de son entraînement de pianiste, de son métier de compositeur et de son répertoire de professeur. Ses élèves en passaient tous par là : au terme de cinq années d’enseignement, il conseilla à l’une des meilleures d’entre elles de « toujours travailler Bach. Ce sera votre meilleur moyen de progresser. »Le présent fac-similé reproduit une édition du premier Livre, annotée par Chopin lors de la formation d’une élève tardive, Pauline Chazaren, qui devait faire carrière dans le professorat privé : choisie par Liszt (lequel l’avait dirigée chez Chopin), elle eut à enseigner la jeune Cosima dans le temps même où elle travaillait avec Chopin. Entièrement autographes, les annotations concernent l’exécution (doigtés, répartitions des voix intermédiaires entre les deux mains, etc.), l’« analyse » des fugues les plus élaborées à travers un repérage des thèmes sous leurs diverses présentations, enfin le report très soigneux – pour les premiers Préludes & Fugues – des indications d’exécutions par Czerny (1837), dont il a pris connaissance à travers la publication parisienne de la veuve Launer. Cette humilité en fin de carrière n’est pas le trait le moins émouvant d’un document neuf et inconnu, qui vient éclairer d’un jour précis les liens de Chopin avec son maître à penser, comme dans son rôle de pédagogue.