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Lettres à sa mère T2 : 1821-1825

Quinet Edgar, Bernard-Griffiths Simone, Peylet Gérard
Date de parution 01/01/1998
EAN: 9782852038936
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le premier volume des Lettres à sa mère s’achevait sur l’arrivée d’Edgar Quinet à Paris, à la fin de l’année 1820 et sur le renoncement du jeune homme à l’Ecole polytechnique et à une carrière scientifique.Le deuxième volume (1821-1825) marque moins ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages327
Langue du livreFrançais
AuteurQuinet Edgar, Bernard-Griffiths Simone, Peylet Gérard
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/1998
Poids365 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 15,00 x 22,00 cm
1821-1825
Le premier volume des Lettres à sa mère s’achevait sur l’arrivée d’Edgar Quinet à Paris, à la fin de l’année 1820 et sur le renoncement du jeune homme à l’Ecole polytechnique et à une carrière scientifique.Le deuxième volume (1821-1825) marque moins une rupture brutale avec le premier qu’une évolution. Edgar Quinet entre dans la vie active, impose ses choix littéraires à ses parents, mais ne rompt pas avec le passé comme le prouvent de nouvelles vacances à Certines en 1822, 1823 et 1824, et ses deux voyages pédestres autour du Lac Léman (1823) et à la Grande-Chartreuse et aux Charmettes (1824). L’époque parisienne succède à l’époque bressane, mais il n’y a pas de rejet de la province et des origines. Le jeune homme qui découvre l’histoire, le romantisme en littérature et en art, la vie politique, poursuit sans rupture véritable son roman d’apprentissage entre la tentation ancienne de la mélancolie et la tentation nouvelle de l’énergie. Il reste fidèle à ses origines, à sa mère, à Certines, mais il a besoin d’élargir son horizon, au point qu’il songe un moment à suivre son ami Pézerat au Brésil. La poursuite de son éducation littéraire, religieuse, politique, sentimentale, continue de se faire en grande partie sous le signe d’Eugénie qui demeure la conseillère et la confidente, du moins jusqu’à la rencontre capitale avec l’œuvre de Herder qu’Edgar Quinet commence à traduire en 1825. Nous avons choisi d’arrêter ce deuxième volume en 1825, car cette année représente à la fois une seconde étape et une seconde naissance.