Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Drouet D'Erlon - Maréchal de France

Germain Pierre
Date de parution 01/01/2024
EAN: 9782851570161
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Descendant d'une lignée de charpentiers rémois, Drouet d'Erlon, engagé en 1792, fit une brillante carrière militaire à travers les combats de la Révolution et de l'Empire. Général de division en 1803, à 38 ans, il participa aux malheureuses opération... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLANORE
Nombre de pages338
Langue du livreFrançais
AuteurGermain Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/2024
Poids362 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 13,60 x 21,40 cm
Descendant d'une lignée de charpentiers rémois, Drouet d'Erlon, engagé en 1792, fit une brillante carrière militaire à travers les combats de la Révolution et de l'Empire. Général de division en 1803, à 38 ans, il participa aux malheureuses opérations du « guêpier espagnol ». Après la première abdication de l'Empereur, il obtint un comman-dement de Louis XVIII, mais le débarquement de Golfe Juan entraîna son ralliement. A Waterloo, il racheta par une charge ultime et inutile sur la Haie-Sainte ses atermoiements aux instants décisifs des batailles de Ligny et des Quatre-Bras. Condamné à mort par un Conseil de Guerre, il n'échappa au peloton d'exécution que par une fuite en Bavière. Après quinze années d'exil, sous la protection du roi Maximilien, l'amnistie de Charles X et la confiance de Louis-Philippe lui firent reprendre du service. A Nantes, il réprima le soulèvement vendéen et l'équi¬pée de la duchesse de Berry. Il fut alors désigné comme le premier gouverneur de l'Algérie. Son rôle y fut ambi¬gu. Rappelé en France, le général d'Erlon termina sa carrière comme un « bon citoyen nantais ». En 1843, il sollicita d'être élevé à la dignité de maréchal de France qui, à ses yeux, valait mieux que le titre de comte que Napoléon lui avait conféré après Austerlitz et Friedland. Il mourut dans la pauvreté à Paris l'année suivante. Le Gouvernement prit en charge ses obsèques et permit de réaliser le vœu du vieux soldat républicain : reposer dans sa ville natale.