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Faire corps

Massé Odile
Date de parution 17/10/2025
EAN: 9782850352027
Disponibilité A paraître: 17/10/2025
Que reste-t-il lorsque le corps s’échappe?? Ce monologue intérieur inclassable, éminemment poétique, est une tentative de composer avec l’absence essentielle, de restituer un lien devenu incongru, pour se comprendre et exister tout de même. Par le di... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurATELIER CONT
Nombre de pages120
Langue du livreFrançais
AuteurMassé Odile
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution17/10/2025
Poids1 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,10 x 14,00 x 22,00 cm
Que reste-t-il lorsque le corps s’échappe?? Ce monologue intérieur inclassable, éminemment poétique, est une tentative de composer avec l’absence essentielle, de restituer un lien devenu incongru, pour se comprendre et exister tout de même. Par le dialogue fantasmatique d’un soi déchiré, amputé de son support – d’une voix délestée, désamarrée, libre ou perdue, inquiète ou affirmée – qui fait penser aux lointains intérieurs de Michaux, à l’absurde éclairant de Kafka, l’ouvrage se manifeste comme un acte et une recherche, un désarroi qui interroge intimement ce que l’on est, ce que l’on doit au corps et ce que veut dire «?être?».Cette tentative de faire corps que traverse le « je », de proses en proses qui sont autant de poèmes, font une langue originale qui cherche son interlocuteur, son entité incarnée, prenant tantôt la position d’une lutte, tantôt celle d’une poursuite acharnée – mais, au bout du compte, ne serait-ce pas la vie du monde qui, rencontrant la voix, y pénètre chaque cellule pour l’habiter, et enfin «?faire corps?»??Dans un style que Claude louis-Combet a qualifié de «?fantastique fantasmatique?», l’autrice offre une expérience d’écriture, interrogeant la nature de ce lien qui nous habite autant que nous l’habitons. Dans une forme originale qui puise dans le conte, le «?flux de conscience?» et la prose poétique, elle dévoile un monologue intérieur aux accents oniriques, où absurde et angoisse se répondent, où désespoir et jubilatoire se confondent, constituant une œuvre singulière et profonde.