Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Je ne sais pas c’qui m’quoi

Méchoulan Éric
Date de parution 18/04/2025
EAN: 9782850351853
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Quelle est cette émotion esthétique particulière qu’engendre l’œuvre de Bernard Réquichot ? Pour en creuser toutes les dimensions, cet ouvrage analyse les dessins, les peintures, les collages et les reliquaires autant que les écrits laissés par l’art... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurATELIER CONT
Nombre de pages192
Langue du livreFrançais
AuteurMéchoulan Éric
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/04/2025
Poids700 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 17,20 x 22,00 cm
Enquête sur une expérience esthétique avec Bernard Réquichot
Quelle est cette émotion esthétique particulière qu’engendre l’œuvre de Bernard Réquichot ? Pour en creuser toutes les dimensions, cet ouvrage analyse les dessins, les peintures, les collages et les reliquaires autant que les écrits laissés par l’artiste.Roland Barthes l’avait noté : « Réquichot conçut son œuvre, son travail comme une expérience, un risque (“Il faut peindre, non pas pour faire une œuvre, mais pour voir jusqu’où une œuvre peut aller”). » On doit donc le suivre à la trace dans toutes ses expérimentations, à commencer justement par celles sur les traces graphiques ou sur ces machines à capture temporelle que sont les reliquaires. Ce qui apparaît alors est un artiste qui pense avec ses mains, dont les spirales faustiennes sont des « émotions expérimentales » comme il le disait. Un artiste ni figuratif ni abstrait, dont les œuvres, où les lignes inattendues ne cessent de vibrer, activent chez celui ou celle qui regarde des reconnaissances de formes végétales ou animales : des présences chargées de mystère.Il réouvre ainsi, dans l’espace de la pensée, les vertus anciennes de l’analogie que la philosophie moderne a répudiées. En faisant de ses tableaux des « écritures », peut-être illisibles, il révèle combien l’écrit ne tient pas seulement aux signes qu’il distribue, mais aussi à l’échelle des pages, au support du papier, aux rythmes des graphismes, aux modulations des lignes, bref à des ambiances du sens, dont une phrase agrammaticale indique l’énigmatique puissance : « je ne sais pas c’qui m’quoi ».