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Oncle Vania

Benjamin Rémy
Date de parution 05/03/2025
EAN: 9782849535264
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans le domaine qu'elle possède et qu'elle gère – avec l'aide de son oncle Vania – Sonia mène une existence morne et tranquille. Mais celle-ci se trouve soudain perturbée par la présence du père de Sonia, le professeur Sérébriakov, venu passer de l... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBOITE A BULLES
Nombre de pages144
Langue du livreFrançais
AuteurBenjamin Rémy
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution05/03/2025
Poids782 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 20,60 x 26,80 cm
Dans le domaine qu'elle possède et qu'elle gère – avec l'aide de son oncle Vania – Sonia mène une existence morne et tranquille. Mais celle-ci se trouve soudain perturbée par la présence du père de Sonia, le professeur Sérébriakov, venu passer de longues vacances, accompagné de sa nouvelle épouse, la jeune et belle Eléna.La jeune femme attise les convoitises de l’Oncle Vania ainsi que d’un ami de la famille, le médecin Astrov – homme misanthrope, amoureux de la nature et inquiet pour son devenir – dont est secrètement amoureuse Sonia…Quand le professeur, monstre d’égoïsme, annonce son intention de vendre le domaine, la tension entre les différents protagonistes atteint son paroxysme et des coups de feu sont échangés.La pièce – et sa brillante adaptation – propose une galerie de personnages tout à la fois ridicules dans leur incapacité à prendre en main leur destin, à ne pas gâcher leur unique vie, et touchants par leur sincérité, leur humanité. Et aborde des thèmes aussi contemporains que le mal de vivre ou l’écologie…Phrases clés de l’œuvre :« Que faire ? Il faut vivre ! Nous vivrons une longue série de jours, de soirées interminables. Mon pauvre oncle Vania, tu pleures. Tu n’as pas connu de joie dans ta vis mais patience, oncle Vania, patience… Nous nous reposerons ! »« Ceux qui vivront après nous, dans cent ou deux cents ans, auront-ils une bonne parole pour nous ? »