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Friedrich Engels et les peuples «sans histoire»

Weill Claudie, Haupt Georges, Billy Gérard, Rosdolsky Roman, Bürnbaumer Benjamin
Date de parution 08/11/2018
EAN: 9782849506929
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale? En Catalogne, en Écosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSYLLEPSE
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurWeill Claudie, Haupt Georges, Billy Gérard, Rosdolsky Roman, Bürnbaumer Benjamin
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution08/11/2018
Poids498 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,10 x 15,00 x 21,00 cm
La question nationale et la révolution de 1848
Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale? En Catalogne, en Écosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l'Est, notamment en Ukraine et dans l'ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations.Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question des droits des nations à disposer d'elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions. Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice.Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples «sans histoires», lesquels «n'ont pas été capables de constituer des États et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale» qu'il oppose aux nations «révolutionnaires».C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.