Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Le dieu perdu dans l'herbe - L'animisme, une philosophie africaine

Effa Gaston-Paul
Date de parution 25/11/2015
EAN: 9782845926271
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ni religion ni philosophie, l'animisme est une compréhension neuve de la nature et sans doute aussi un art de vivre qui, face à un monde agité, nous apprend à mieux habiter le monde.Et si l'animisme s'avérait la seule possibilité de sauver l'homme ? ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPRESSES CHATELE
Nombre de pages192
Langue du livreFrançais
AuteurEffa Gaston-Paul
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/11/2015
Poids264 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 14,10 x 22,70 cm
Ni religion ni philosophie, l'animisme est une compréhension neuve de la nature et sans doute aussi un art de vivre qui, face à un monde agité, nous apprend à mieux habiter le monde.Et si l'animisme s'avérait la seule possibilité de sauver l'homme ? Par une nouvelle façon d'être au monde, cette pensée, souvent méconnue, se donne à vivre comme une contre-philosophie.Cette initiation est un éveil de l'être tout entier, une nouvelle cosmogonie qui se donne à lire. Il s'agit de réapprivoiser son corps en réapprenant, par exemple, à respirer, à contempler, à se dessaisir du sens des choses, à apprendre à oublier le temps. Face à un monde agité et au seuil du chaos, l'animisme invite à retrouver l'aspect essentiel des choses.Instaurant un dialogue entre la philosophie occidentale et cette philosophie africaine, Gaston-Paul Effa décentre la perspective, et change de focale : et si une nouvelle révolution était en marche ? Et si, contrairement à l'idée reçue, c'était la Nature qui humanisait l'Homme ?