Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Pure Perte

Baladi
Date de parution 15/10/2011
EAN: 9782844144355
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Il y a quelques années, Baladi et son ami musicien Brice Catherin ont imaginé le principe des « partitions dessinées »: demander à des dessinateurs ne connaissant pas le solfège de dessiner ce qu’ils veulent sur du papier à portées, Brice Catherin et... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurASSOCIATION
Nombre de pages32
Langue du livreFrançais
AuteurBaladi
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/10/2011
Poids96 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,40 x 16,50 x 24,50 cm
Il y a quelques années, Baladi et son ami musicien Brice Catherin ont imaginé le principe des « partitions dessinées »: demander à des dessinateurs ne connaissant pas le solfège de dessiner ce qu’ils veulent sur du papier à portées, Brice Catherin et son « Car de thon » improvisant ensuite musicalement en public sur ces partitions. Baladi avait déjà dessiné de nombreuses partitions « courtes ». Avec Pure perte, il revient sur la genèse de cette forme d’expérimentation, et en propose une « longue ». Cette Mimolette fait également écho à Peine perdue où Baladi abordait déjà la musique, si liée à la bande dessinée.