Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

L'été solitaire

Arnim Elizabeth von, Dupuigrenet Desrousi François
Date de parution 20/06/2019
EAN: 9782841006700
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Paru pour la première fois en 1899, L'Été solitaire se présente comme le journal d'une châtelaine anglaise de Poméranie que les lecteurs britanniques et américains ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurOMNIA
Nombre de pages171
Langue du livreFrançais
AuteurArnim Elizabeth von, Dupuigrenet Desrousi François
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution20/06/2019
Poids102 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 11,20 x 18,00 cm
Paru pour la première fois en 1899, L'Été solitaire se présente comme le journal d'une châtelaine anglaise de Poméranie que les lecteurs britanniques et américains avaient découvert l'année précédente dans le premier volume du journal, Elizabeth et son jardin allemand, un des plus grands succès littéraires de la fin du XIXe siècle. Pour s'abandonner pleinement au sentiment romantique de la nature, que ce soit en son jardin sauvage ou au cœur des forêts profondes qui s'étendent jusqu'au rivage de la Baltique, la jeune femme a exigé de son irascible mari, " l'Homme de Colère ", qu'il interdise toute visite au Schloss pendant plusieurs mois. Le lecteur est donc entraîné dans la chronique charmante d'un été de solitude et de liberté où chaque jour semble fait de la matière des rêves. Avec une passion contagieuse, Elizabeth décrit comme personne une colline couronnée de lupins sous le soleil d'août, un bois de pins au parfum de mûre ou une procession de nuages dans le ciel. Mais Elizabeth Von Arnim, " la femme la plus spirituelle de son siècle " pour H.G. Wells, donne aussi, au fil des jours, une suite de scènes irrésistibles de drôlerie ou la vie quotidienne du château, du village et de la famille von Arnim, est peinte avec la verve d'une Jane Austen au pays de Thomas Mann.