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De l'art comme résistance à l'implication politique

Caron Maxence
Date de parution 23/08/2021
EAN: 9782840496885
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans un monde qui sollicite constamment l'implication politique de chacun en l'opposant à l'opinion de tout autre, l'art fait surgir une dimension énigmatique et familière : y pénétrer c'est découvrir une liberté que la société civile n'offre pas, et... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurSEGUIER
Nombre de pages632
Langue du livreFrançais
AuteurCaron Maxence
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution23/08/2021
Poids816 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,60 x 15,20 x 21,10 cm
Dans un monde qui sollicite constamment l'implication politique de chacun en l'opposant à l'opinion de tout autre, l'art fait surgir une dimension énigmatique et familière : y pénétrer c'est découvrir une liberté que la société civile n'offre pas, et qu'elle combat.Obsédée par l'opinion de chacun, l'époque veut absorber l'art dans ses débats. Mais le principe de l'art résiste aux préoccupations de la cité. Se tenant dans ce que Rimbaud nomme " le dégagement rêvé ", l'art est le lieu d'une absence totale d'implication civile. Ce livre est un traité De l'art ; conçu comme une odyssée, il progresse en sept étapes. La première, à travers l'analyse des slogans partisans, établit la vacuité d'une psychose volontaire : la relation au politique. En rupture avec cette maladie, les étapes suivantes sont les cinq degrés de progressive élévation dans la relation que l'artiste entretient avec l'art. Les figures symboliques de Ph. Muray (dont on lit pour la première fois le Journal intime), de Wagner, de Rousseau, de G. Gould et de saint Augustin permettent à cette odyssée hors de l'implication civile de déployer la richesse de son sens. L'étape finale est l'expression directe du Poëme qui se tient au coeur de l'art : un chant de solitude. Ici, on ne parle pas extérieurement de l'art, on le fait. Et l'oeuvre vient couronner la pensée de l'oeuvre.