Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

La mondialisation, stade suprême du capitalisme ?

Andreff Vladimir
Date de parution 09/02/2013
EAN: 9782840161189
Disponibilité Epuisé
Où la mondialisation conduit-elle l’économie ? Pour tenter de répondre à cette question, les auteurs prolongent ici les intuitions de l’économiste Charles-Albert Michalet en analysant les espaces de la mondialisation : la finance globale, les bourses... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPARIS OUEST
Nombre de pages408
Langue du livreFrançais
AuteurAndreff Vladimir
FormatBook
Type de produitLivre
Date de parution09/02/2013
Poids610 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 15,50 x 24,00 cm
En hommage à Charles-Albert Michalet
Où la mondialisation conduit-elle l’économie ? Pour tenter de répondre à cette question, les auteurs prolongent ici les intuitions de l’économiste Charles-Albert Michalet en analysant les espaces de la mondialisation : la finance globale, les bourses de valeurs, le commerce mondial – cet « impérialisme à l’envers » -, les pressions protectionnistes européennes ainsi que la globalisation de la propriété intellectuelle. Il s’agit de comprendre également comment les principaux acteurs de la mondialisation, les États et les Firmes, dépassent et entretiennent la crise. En effet, la concurrence que se font les États pour attirer les investisseurs étrangers nourrit cette crise malgré les politiques nationales d’innovation. De leur côté, les Firmes qui inscrivent désormais leurs stratégies dans une recomposition mondiale de l’industrie et des services, accentuent les flux de délocalisation et de relocalisation des activités. Dans un même temps, de nouvelles Firmes originaires du « Sud » font irruption dans l’espace mondial. La force de travail doit ainsi s’adapter à une nouvelle donne qui va de la financiarisation des Firmes à l’individualisation des rémunérations.