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Maurice Blanchot et la philosophie

Milon Alain
Date de parution 03/04/2010
EAN: 9782840160557
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Cet ouvrage analyse la relation particulière, pétrie de méfiance, qu'entretenait Maurice Blanchot avec la philosophie. Dans Le Pas au-delà, Maurice Blanchot fait le constat suivant : « Derrière le discours parle le refus de discourir, comme derrière ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPARIS OUEST
Nombre de pages438
Langue du livreFrançais
AuteurMilon Alain
FormatBook
Type de produitLivre
Date de parution03/04/2010
Poids612 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,70 x 17,00 x 20,00 cm
Cet ouvrage analyse la relation particulière, pétrie de méfiance, qu'entretenait Maurice Blanchot avec la philosophie. Dans Le Pas au-delà, Maurice Blanchot fait le constat suivant : « Derrière le discours parle le refus de discourir, comme derrière la philosophie parlerait le refus de philosopher : parole non parlante, violente, se dérobant, ne disant rien et tout à coup criant. »Cette résistance de Blanchot à l’égard de la philosophie montre les limites de la qualification d’une œuvre, qu’elle soit philosophique, littéraire ou poétique. L’ écriture philosophique est-elle plus ou moins philosophique dans le fragment d’Héraclite, le système d’Hegel ou l’aphorisme de Nietzsche ? De tout cela, Blanchot semble se moquer. Et qu’importe de savoir si Blanchot est philosophe. Notre intention dans cet ouvrage est ailleurs. Elle est dans le souhait d’interroger le « et », chacun avec ses lectures et ses convictions. Ce « et » dans Blanchot et la philosophie, faut-il l’envisager comme une addition, une disjonction, une impossibilité, un ou bien ou bien, un ni ni, une localisation… ? Où est Blanchot en fin de compte ? Trois articles de Maurice Blanchot compléteront cette approche : « Le « discours philosophique » » (1971), « Discours sur la patience (en marge des livres d’Emmanuel Lévinas) » (1975), et « Notre compagne clandestine » (1980).