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Penser les fondements philosophiques de la conversion écologique

Priaulet Isabelle
Date de parution 28/10/2020
EAN: 9782830917291
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce livre entend poser les fondements philosophiques d’une « conversion écologique » en éclairant la dimension ontologique de la crise écologique.En s’appuyant sur des auteurs tels que Heidegger, Hans Jonas, Günther Anders et Jacques Ellul, l’auteur... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLABOR ET FIDES
Nombre de pages616
Langue du livreFrançais
AuteurPriaulet Isabelle
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution28/10/2020
Poids662 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)4,10 x 14,00 x 22,50 cm
Pour une écologie de la résonance
Ce livre entend poser les fondements philosophiques d’une « conversion écologique » en éclairant la dimension ontologique de la crise écologique.En s’appuyant sur des auteurs tels que Heidegger, Hans Jonas, Günther Anders et Jacques Ellul, l’auteure montre, dans un premier temps, la nécessité d’une conversion face au péril métaphysique que représente la Technique comme dévoiement de notre « être-au-monde ».La seconde partie consiste à poser les fondements philosophiques et religieux du concept de conversion. De la metanoia platonicienne aux thérapies de l’âme stoïciennes et épicuriennes, l’auteur explore la place de la connaissance de la physis dans le « retour à Soi » afin de faire émerger la possibilité et les modalités d’une « conversion écologique ».La dernière partie, plus spécifiquement consacrée à l’écologie, utilise les modalités de la conversion écologique esquissées avec les sagesses grecques et chrétiennes pour penser un changement de notre affect du monde et défendre l’hypothèse d’une « empathie universelle » en affinité avec la philosophie merleau-pontienne de la « chair du monde ».À travers deux grands courants de l’écologie que sont l’écologie profonde et la wilderness, l’auteure jette les bases d’une ontologie relationnelle jusqu’à penser, contre toute tentation catastrophiste, une « échologie de la Joie », une spiritualité de la résonance, en dialogue avec les traditions asiatiques