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Serge Lifar la beauté du diable

Pastori Jean Pierre
Date de parution 26/11/2009
EAN: 9782828911270
Disponibilité Manque temporaire
Etayée de références indiscutables, mais riche d'anecdotes savoureuses, cette biographie s'affirme comme le roman vrai d'un danseur... Chorégraphe, il ne se contente pas de signer quelques purs chefs-d'œuvre comme L... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurFAVRE
Nombre de pages207
Langue du livreFrançais
AuteurPastori Jean Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution26/11/2009
Poids444 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 15,30 x 23,60 cm
Etayée de références indiscutables, mais riche d'anecdotes savoureuses, cette biographie s'affirme comme le roman vrai d'un danseur... Chorégraphe, il ne se contente pas de signer quelques purs chefs-d'œuvre comme Les Mirages ou Suite en blanc. Il commande des partitions, collectionne les maquettes de décors et de costumes, organise des expositions, donne des conférences, signe des livres. Mais à cet homme de spectacle, les applaudissements du public ne suffisent pas. Son ego fortifié par la beauté du diable exige qu'il soit constamment en représentation. " Artiste sur la scène, dit-il, comédien dans la vie. " Il fréquente l'aristocratie internationale, est courtisé par baronnes et comtesses, s'éprend d'une princesse, pourtant mariée à un célèbre couturier. Infatigable bretteur, il publie des critiques assassines sur ses contemporains, intente des procès, se bat en duel. Pendant la guerre, il est à la fois dénoncé comme juif par la presse collaborationniste et condamné à mort par Radio Londres. A la Libération, on lui fait chèrement payer ses fréquentations douteuses. Bannissement de l'Opéra de Paris, grève des machinistes, menaces de mort, alertes à la bombe, manifestations de rue... A quoi répond l'inaltérable fidélité de ses danseurs qui, jusque dans l'épreuve, reconnaissent en lui mieux qu'un chorégraphe : un maître. Encensé par les uns, vilipendé par les autres, Serge Lifar demeurait une énigme. Il fallait davantage que les hagiographies qu'il a suscitées et que les autobiographies laudatives qu'il a fait écrire pour dissiper le mystère. Ce destin exceptionnel méritait d'être retracé, avec ses ombres et ses lumières.