Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

L'Enfant

Vallès Jules
Date de parution 02/04/2024
EAN: 9782824912974
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
"L’Enfant", autobiographie romancée et premier volume de la trilogie sociale "Jacques Vingtras, Mémoires d’un révolté", est dédiée à tous ceux qui furent tyrannisés et roués de coups par leurs parents. Fils d’un professeur de collège et d’une paysann... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurREPUBLIQUE LETT
Nombre de pages464
Langue du livreFrançais
AuteurVallès Jules
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution02/04/2024
Poids481 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,40 x 13,50 x 18,50 cm
Jacques Vingtras (1)
"L’Enfant", autobiographie romancée et premier volume de la trilogie sociale "Jacques Vingtras, Mémoires d’un révolté", est dédiée à tous ceux qui furent tyrannisés et roués de coups par leurs parents. Fils d’un professeur de collège et d’une paysanne bornée, Vingtras est dès le bas âge instruit à l’école du malheur, sans avoir rien à attendre de l’éducation. Sous prétexte de l’aguerrir, on s’ingénie à lui rendre la vie dure et on lui reproche le pain qu’il mange. Quoi qu’il fasse, il ne parvient jamais à gagner l’affection de ses parents et maîtres. C’est dans cette atmosphère viciée qu’il fait ses humanités, grec et latin «avalés comme de la boue». Aussi brûle-t-il du désir de déserter la maison familiale maudite. Dans ce premier volume, Jules Vallès dresse un tableau de la vie de province en France au XIXe siècle impossible à oublier. Longtemps en proie à la misère, le révolté, futur fondateur du "Cri du peuple" et leader de l’insurrection de la Commune de Paris, arrache ici des lambeaux de sa vie, les ajuste, les coud ensemble et s’en sert comme d’un étendard. "L’Enfant", comme les deux autres volumes de "Jacques Vingtras", est écrit en haine de la société et si Vallès attaque aussi durement cette société c’est, avant tout, parce qu’elle laisse dans le dénuement ceux qui refusent d’être ses valets soumis.