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Jean Monnet et l'économie

Bossuat Gérard
Date de parution 05/03/2003
EAN: 9782807604919
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Avant le plan Schuman du 9 mai 1950 et l'unité européenne, Jean Monnet a été confronté aux relations économiques internationales. Pendant la Première Guerre, il invente les mécanismes du commerce et du financement international de guerre au profit de... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPETER LANG AG
Nombre de pages252
Langue du livreFrançais
AuteurBossuat Gérard
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution05/03/2003
Poids309 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,40 x 21,00 x 14,80 cm
Avant le plan Schuman du 9 mai 1950 et l'unité européenne, Jean Monnet a été confronté aux relations économiques internationales. Pendant la Première Guerre, il invente les mécanismes du commerce et du financement international de guerre au profit des alliés. Il acquiert des compétences qui lui permettent de participer aux décisions économiques et monétaires internationales et intereuropéennes, dans le cadre de la SDN, dont il devient Secrétaire général adjoint ou comme financier privé, attaché à une banque d'affaires américaine. Il contribue à la remise en ordre des finances autrichiennes, de l'économie de la Haute-Silésie, et des monnaies polonaise et roumaine, voire même française. Il est invité à lancer la modernisation de la Chine de Tchang-Kaï-chek. Cependant, Monnet, qui n'est pas un Keynes français, cherche à mettre l'économie au service des collectivités humaines en inventant le premier Plan de modernisation et d'équipement français. Il propose une gouvernance « fédérale » du marché, et veille au développement des potentialités des traités de Rome telles que le système monétaire européen, ou « le gouvernement européen » incarné par le Conseil européen. Monnet ne conçoit pas l'économie sans régulation. Proche de Wall Street et des banquiers centraux, il n'est pas un financier sans conscience puisqu'il quitte la banque au nom de l'intérêt général à partir de 1938 pour mettre son expérience et son réseau au service de la France, des Alliés et de l'Europe. Il cherche toujours à développer les idées qui grandissent une communauté humaine et non celles qui la divisent.