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Brève histoire des institutrices au Québec

Dufour Andrée, Dumont Micheline
Date de parution 05/01/2005
EAN: 9782764603260
Disponibilité Manque temporaire
« Maîtresses d’école », « institutrices », « enseignantes ». Ces diverses appellations recouvrent un même objet d’étude : les femmes qui enseignent. Ce livre rend compte de l’expérience et de la contribution des femmes qui ont enseigné aux jeunes enf... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurBOREAL
Nombre de pages228
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurDufour Andrée, Dumont Micheline
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution05/01/2005
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 12,60 x 19,00 cm
de la Nouvelle-France à nos jours
« Maîtresses d’école », « institutrices », « enseignantes ». Ces diverses appellations recouvrent un même objet d’étude : les femmes qui enseignent. Ce livre rend compte de l’expérience et de la contribution des femmes qui ont enseigné aux jeunes enfants, aux élèves du primaire et de l’élémentaire, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. C’est durant la période 1639-1801 qu’on assiste à l’émergence du métier d’institutrice en Nouvelle-France, selon le modèle importé de la France métropolitaine. Les institutrices étaient essentiellement des religieuses qui n’enseignaient qu’à des filles, à des couventines bien souvent, qui deviendront parfois des institutrices oeuvrant tant à la ville qu’à la campagne pendant les années 1801-1845. Car les institutrices sont alors aussi des laïques, travaillant dans un contexte où l’État et l’Église se disputent le champ de l’éducation. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, on assiste à la mise sur pied d’un système d’instruction public permanent, où les institutrices subissent la concurrence des religieuses et des frères enseignants. Pendant les années 1899-1939, on assiste à un début de professionnalisation du corps enseignant. Les institutrices souffrent toutefois de la situation économique qui se détériore durant les années 1930 et d’une formation souvent insuffisante. La « grande transition », qui couvre la période 1939-1968, voit néanmoins l’affirmation d’une profession féminine qui, d’abord temporaire, va devenir un authentique engagement professionnel, tandis que le nombre des institutrices augmente (nous sommes en plein baby-boom). Enfin, le dernier chapitre trace le portrait de l’« institutrice aujourd’hui », soit depuis 1968, alors que, si leurs conditions de travail se sont nettement améliorées, les institutrices doivent composer avec le changement des valeurs et les nouvelles réalités de la société québécoise.