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Les ports maritimes de la France atlantique (XIe-XVe siècles) 2

Tranchant Mathias
Date de parution 24/04/2025
EAN: 9782753598072
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
À partir du Tableau géohistorique préalablement publié, ce second volume propose une étude en profondeur des ports de la France atlantique durant la seconde moitié du Moyen Âge. S’ils étaient des Territoires de fortune, c’est en raison, tout à la foi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPU RENNES
Nombre de pages408
Langue du livreFrançais
AuteurTranchant Mathias
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution24/04/2025
Poids740 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 16,50 x 24,00 cm
Volume II : Territoires de fortune
À partir du Tableau géohistorique préalablement publié, ce second volume propose une étude en profondeur des ports de la France atlantique durant la seconde moitié du Moyen Âge. S’ils étaient des Territoires de fortune, c’est en raison, tout à la fois, des opportunités qu’ils procuraient et des incertitudes auxquelles ils se trouvaient exposés. Les aléas de l’environnement littoral instable, ses contraintes et ses transformations, favorisaient ou handicapaient les installations avec plus ou moins de gravité. Les havres étaient tributaires des mutations du marché du fret et de la technologie navale de l’époque : variation du flux des échanges et des quantités de denrées à transporter, modification des routes commerciales, croissance du tonnage des navires, dépôts de lest, etc. Leur existence était enfin suspendue à la volonté de leurs différentes autorités de tutelle, elles-mêmes traversées par de fortes évolutions. Aussi devaient-ils être régulièrement adaptés à ces changements combinés. Dans le cas d’une simple zone de relâche ou de transbordement, destinée à un trafic faible ou occasionnel, éloignée d’une agglomération dynamique, il n’était pas question d’engager des travaux coûteux et son obsolescence invitait à reporter ailleurs les activités qu’elle abritait. Au contraire, un site vers lequel se concentraient et se fixaient durablement des enjeux importants donnait lieu à des investissements lourds et prolongés. Au final, considéré pour ce qu’il est, c’est-à-dire un territoire à part entière, le port révèle l’ampleur de son rôle dans la vie des populations maritaines. Il possède, par ses paysages, par sa lexicographie, par ses fonctions, par l’interface qu’il constitue entre l’environnement et la société, une place originale parmi les autres territoires du médiéviste. Son histoire participe d’une histoire maritime totale qui englobe l’ensemble des événements liés à la mer.