Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Les philosophes et les sons

SOULEZ Antonia
Date de parution 20/11/2021
EAN: 9782752104359
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Préfacé par Julien LabiaPostface sous la forme d’un dialogue avec le compositeur Horacio Vaggione.Philosophe du langage, lectrice de Wittgenstein et Valéry, Antonia Soulez s’exerce à explorer au long d’un périple à travers différentes musiques, le ra... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDELATOUR FRANCE
Nombre de pages360
Langue du livreFrançais
AuteurSOULEZ Antonia
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution20/11/2021
Poids447 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 14,50 x 20,60 cm
Préfacé par Julien LabiaPostface sous la forme d’un dialogue avec le compositeur Horacio Vaggione.Philosophe du langage, lectrice de Wittgenstein et Valéry, Antonia Soulez s’exerce à explorer au long d’un périple à travers différentes musiques, le rapport au son qui fait de Scriabine, de George Crumb, de Steve Reich, de Ligeti, de l’école de Princeton, et de l’écoute chez Beckett, des contributeurs aux arts du son aujourd’hui. Il n’y a pas jusqu’à l’intonation du poème, qu’elle pratique, qui ne pourrait y entrer. Elle questionne le rapport entre musique et son dont le primat va occuper tout un pan de siècle, des avancées pionnières de Varèse jusqu’à l’orée du XXIe siècle. Les œuvres abordées procèdent d’un choix dominé par la jouissance d’écoute et non par une norme esthétique qui s’imposerait. Privilégiant ce qu’écrivent et disent les compositeurs, ces enquêtes préconisent un mode actif de comprendre où la participation aux structures et figures sonores qui le rendent effectif passe par le désir de faire siennes les formes-gestes de l’œuvre. Par l’importance donnée à l’écriture des sons, en vue d’un plaisir qui ne se confond pas avec un pur vécu d’émotion, elle s’interroge sur l’apport de la philosophie à la musique sous l’aspect du son, qui pourrait venir ébranler l’idée d’une « philosophie de la musique » entendue comme discours théorique sur la musique.Ouvrage publié avec le soutien du Laboratoire d’études et de recherches sur les Logiques Contemporaines de la Philosophie. LLCP – Université Paris 8.