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Marlène Dietrich. "Allô mon ange, c'est Marlène!"

Bozon Louis
Date de parution 03/05/2012
EAN: 9782749916613
Disponibilité Manque temporaire
Pendant trente ans, Louis Bozon a partagé le quotidien de Marlène Dietrich. Une amitié née au début des années soixante qui est devenue une complicité quotidienne jusqu'à la disparition de la star, le 6 mai 1992. Il lui a rendu d'innombrables service... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurMICHEL LAFON
Nombre de pages266
Langue du livreFrançais
AuteurBozon Louis
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution03/05/2012
Poids426 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 15,60 x 23,70 cm
Pendant trente ans, Louis Bozon a partagé le quotidien de Marlène Dietrich. Une amitié née au début des années soixante qui est devenue une complicité quotidienne jusqu'à la disparition de la star, le 6 mai 1992. Il lui a rendu d'innombrables services, l'a accompagnée partout dans Paris. Lorsqu'elle s'est définitivement enfermée dans son appartement parisien de l'avenue Montaigne, il a été l'un des rares à pénétrer dans cette forteresse.Pendant trente ans, Louis Bozon a partagé le quotidien de Marlène Dietrich. Une amitié née au début des années soixante qui est devenue une complicité quotidienne jusqu'à la disparition de la star, le 6 mai 1992. Au temps de sa gloire, il a mille fois savouré en tête-à-tête, chez elle, un pot au feu qu'elle adorait cuisiner. Il lui a rendu d'innombrables services, l'a accompagnée partout dans Paris, a subi ses colères et ses caprices, n'a pas cessé de se fâcher avec elle, puis de se réconcilier. Lorsqu'elle s'est définitivement enfermée dans son appartement parisien de l'avenue Montaigne, il a été l'un des rares à pénétrer dans cette forteresse dont elle lui avait donné la clé. Vingt ans après la disparition de " L'Ange Bleu ", Louis Bozon raconte par le détail la légende vivante qu'il a eu le privilège de côtoyer. Il évoque ses folies, ses excès, son mélange de dépenses excessives et d'économies de bout de chandelle, une vie cloîtrée entre un lit qu'elle ne quittait plus, une télévision où elle suivait l'actualité du monde et un téléphone qu'elle utilisait en permanence pour appeler sa fille, la Reine d'Angleterre, ou... Louis Bozon, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Des coups de fil qui débutaient toujours par " Allo, mon ange, c'est Marlène. Je ne vous dérange pas ? "