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Journal et autres carnets inédits

Brassens Georges, Cabrel Francis, Boris Jean-Michel
Date de parution 23/10/2014
EAN: 9782749141527
Disponibilité Manque temporaire
Inédit - le carnet de bord authentique de Georges Brassens enfin édité.Georges Brassens a parfois fait allusion à un carnet dans lequel il notait tout ce qui lui passait par la tête. Ce carnet – en fait, un cahier d'écolier –, le voici. Ce Journal in... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHERCHE MIDI
Nombre de pages333
Langue du livreFrançais
AuteurBrassens Georges, Cabrel Francis, Boris Jean-Michel
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution23/10/2014
Poids530 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,60 x 15,60 x 24,20 cm
Inédit - le carnet de bord authentique de Georges Brassens enfin édité.Georges Brassens a parfois fait allusion à un carnet dans lequel il notait tout ce qui lui passait par la tête. Ce carnet – en fait, un cahier d'écolier –, le voici. Ce Journal inédit, que Brassens a tenu de 1963 à 1981, est atypique et hétéroclite : les événements intimes y voisinent avec des aphorismes ou des ébauches de chansons. Et pas n'importe quelles ébauches ! C'est dans ces pages à petits carreaux que l'on voit surgir Mourir pour des idées, Cupidon s'en fout, Les quat'z'arts, Le pluriel, La ballade des gens qui sont nés quelque part, Les deux oncles, Don Juan, Mélanie, Tempête dans un bénitier, etc. Au total, 41 chansons. Dans ce Journal, Georges Brassens est égal à lui-même, constant dans ses convictions et sa manière d'être : libertaire et tolérant, truculent et discret, lucide et courageux. Inédits aussi, et ajoutés au Journal, Le vent des marécages (un premier journal datant de la période 1946-1953) et trois agendas (des années 1953 et 1955) viennent préciser l'autoportrait d'un homme qui ne s'est jamais caché derrière son petit doigt. Faut-il encore mettre les points sur les i ? Georges Brassens n'hésite pas à le faire dans son Journal : " Quand on écoute mes chansons avec une oreille un peu fine, on entend que je ne suis pas du côté de la guillotine, de la loi, du côté de l'armée, du côté de l'exploitation de l'homme et de la femme qu'on force à se prostituer, du côté de la religion, du côté du profit, du côté du béton et des grands ensembles. Tout cela, je l'ai quand même écrit noir sur blanc ! "Édition établie par Jean-Paul Liégeois