Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

André - Leone Leoni (1835)

Sand George, Lascoux Liliane, Delamaire Mariette
Date de parution 27/10/2017
EAN: 9782745349088
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
AndréSixième de la production sandienne, André (1835) est né en marge du Secrétaire Intime. Conçu à Paris, « rêvé » à Venise, écrit à Venise et à Nohant, le roman raconte l’histoire tragique d’un aristocrate et d’une grisette « pas comme les autres »... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages454
Langue du livreFrançais
AuteurSand George, Lascoux Liliane, Delamaire Mariette
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution27/10/2017
Poids560 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)22,30 x 15,00 x 22,00 cm
AndréSixième de la production sandienne, André (1835) est né en marge du Secrétaire Intime. Conçu à Paris, « rêvé » à Venise, écrit à Venise et à Nohant, le roman raconte l’histoire tragique d’un aristocrate et d’une grisette « pas comme les autres ». Roman des fleurs, premier roman « intimiste » de G. Sand, il propose déjà nombre de thèmes chers à la romancière. Dostoïevski le comptait parmi les meilleures œuvres de G. Sand.Leone LeoniJuliette Ruyter rapporte à don Aleo, qui l’aime et qui veut l’épouser, l’histoire de sa passion pour un aristocrate libertin, joueur et escroc qui l’a conduite à accepter des situations et des actes de plus en plus blâmables. Alors qu’au matin, son récit paraît l’avoir délivrée, il suffit d’un appel de Leoni pour soumettre à nouveau Juliette à son pouvoir.Écrit à Venise «en quatorze jours», ce roman de la passion inapaisable occupe une place particulière entre André et Jacques. Outre la présence de Venise, on y trouve la trace de la crise profonde vécue par George Sand en janvier et février 1834. En 1853, dans la notice pour les Œuvres illustrées, George Sand écrira qu’elle a conçu l’œuvre comme un parallèle inversé de Manon Lescaut, la présentera comme une étude morale, dont le mérite tient à la vérité des caractères. Mais le dénouement qui laisse Juliette poursuivre lucidement un destin malheureux appelle le lecteur à s’interroger sur le sens de l’oeuvre.