Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Euvres en rimes, 3eme partie : Les jeux, volume 2 - Antigone

Baïf Jean-Antoine de, Vignes Jean, Mund-Dopchie Monique
Date de parution 27/10/2016
EAN: 9782745331298
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Premier tu t’accomodesA la tragique chanson,Epovantant d’un grand sonEt d’un stile tel qu’il faut Nostre François échaufaut.Dès 1550, Ronsard salue le « grand son » de son ami Jean- Antoine de Baïf (il n’a que dix-huit ans) et lui promet un destin de... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages136
Langue du livreFrançais
AuteurBaïf Jean-Antoine de, Vignes Jean, Mund-Dopchie Monique
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution27/10/2016
Poids280 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)7,50 x 15,00 x 22,00 cm
In Œuvres complètes T4
Premier tu t’accomodesA la tragique chanson,Epovantant d’un grand sonEt d’un stile tel qu’il faut Nostre François échaufaut.Dès 1550, Ronsard salue le « grand son » de son ami Jean- Antoine de Baïf (il n’a que dix-huit ans) et lui promet un destin de poète tragique. Hélas, des tragédies de Baïf, une seule est parvenue jusqu’à nous, tardivement imprimée parmi ses Jeux en 1572. Cette récriture française de l’Antigone de Sophocle, dédiée à la reine Elizabeth, épouse de Charles IX, au lendemain de la Saint-Barthélemy, hésite étrangement entre souci de fidélité à son modèle et liberté dans l’adaptation. Mais la « belle infidèle » brille surtout par son extraordinaire audace formelle. Aucun autre poète contemporain n’a déployé dans les chœurs d’une tragédie une telle variété de mètres et de strophes. Aucun surtout n’a pulvérisé comme ici la césure. Aucun n’a fait résonner sur le théâtre des « vers baïfins » de quinze syllabes !