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Correspondance - lettres à sa mère, 1805-1816, en 2 volumes.

Staël-Holstein Auguste-Louis de, Omacini Lucia, Haussonville Othenin d'
Date de parution 04/09/2013
EAN: 9782745326843
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ces lettres d’Auguste de Staël à sa mère (1805-1816) sont presque totalement inédites. Plus que d’une véritable correspondance, il s’agit d’une sorte de monologue, les lettres d’Auguste étant souvent restées sans réponse surtout pendant la période de... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages992
Langue du livreFrançais
AuteurStaël-Holstein Auguste-Louis de, Omacini Lucia, Haussonville Othenin d'
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution04/09/2013
Poids1380 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)4,80 x 15,50 x 23,50 cm
en grande partie inédites
Ces lettres d’Auguste de Staël à sa mère (1805-1816) sont presque totalement inédites. Plus que d’une véritable correspondance, il s’agit d’une sorte de monologue, les lettres d’Auguste étant souvent restées sans réponse surtout pendant la période de l’exil, des Cent-Jours et de la Restauration. Celles de Mme de Staël ont toutefois existé, du moins en partie : égarées ou détruites, elles apparaissent en filigrane dans les réponses de son fils, ce dernier se pliant, en fidèle exécutant, aux ordres donnés et répondant tantôt avec désespoir, tantôt avec ironie, aux nombreux reproches qui lui sont adressés. Quand ces lettres n’existent pas, celles de son fils montrent une exactitude qui dément toute accusation de négligence. Jeune homme doté d’une très grande sensibilité, sans doute mal aimé et très souvent proche de la dépression, il manifeste un attachement compulsif pour sa mère. Cette correspondance est à plusieurs égards d’un intérêt certain : elle possède une grande valeur psychologique car elle apporte un regard nouveau sur Mme de Staël, montrant à la fois ses rapports avec ses enfants, ses exigences parfois inacceptables, ses souffrances réelles bien que souvent entachées d’égocentrisme. Elle offre surtout un témoignage en prise directe sur une période dramatique de l’histoire de France. L’apparat critique qui accompagne cette correspondance à des fins explicatives vise également à transformer cette monodie-dialogique en un échange choral, par l’introduction d’autres voix, d’autres témoignages, d’autres points de vue et relativise ce qui pouvait paraître cantonné aux seuls intérêts privés de la famille de Staël.