Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Abrégé de l'histoire de Port-Royal

Racine Jean, Lesaulnier Jean, Sellier Philippe
Date de parution 27/08/2012
EAN: 9782745323828
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Œuvre secrète de Jean Racine, l’Abrégé de l’histoire de Port-Royal est également une œuvre inachevée : un véritable écrivain s’attaquait pour la première fois à composer une histoire de la célèbre abbaye. Le manuscrit mystérieux disparut jusqu’au jou... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages456
Langue du livreFrançais
AuteurRacine Jean, Lesaulnier Jean, Sellier Philippe
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution27/08/2012
Poids800 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 15,00 x 22,00 cm
Œuvre secrète de Jean Racine, l’Abrégé de l’histoire de Port-Royal est également une œuvre inachevée : un véritable écrivain s’attaquait pour la première fois à composer une histoire de la célèbre abbaye. Le manuscrit mystérieux disparut jusqu’au jour où un libraire inconnu en fit paraître une première partie, suivie, vingt cinq ans plus tard, en 1767, d’une autre édition : elle présentait la première, avec une deuxième partie, et voyait le jour d’après une copie du manuscrit original de Racine. En quête, depuis longtemps, du texte de leur père, Jean-Baptiste et Louis Racine avaient fini par se procurer la totalité de l’ouvrage, mais seule la deuxième partie, sous sa forme autographe, parvenait dans les mains du cadet. Louis Racine se rendit compte aisément que l’ouvrage ne couvrait que les deux tiers du siècle, et il ne pouvait lui échapper que Jean Racine projetait de dépasser 1665-1669. D’autres questions étaient posées par l’existence de ce texte : quand, pour qui et pourquoi Racine a-t-il entrepris de composer cette histoire : serait-ce pour le nouvel archevêque de Paris? Serait-ce pour présenter une apologie pieuse de Port-Royal? Ne serait-ce pas pour s’inscrire dans une longue tradition historiographique que l’« enfant de Port-Royal » se proposa d’offrir à ses futurs lecteurs ce chant joyeux et serein ? Au jugement de Boileau, « c’était le plus parfait morceau d’histoire que nous eussions dans notre langue. »